Mercato - Le Real Madrid tient le successeur de Courtois !

Quelques jours seulement après l'annonce de la grave blessure de Thibaut Courtois, le Real Madrid s'est mis d'accord avec son successeur.

Avec un gardien sur le flanc pour une grande partie de la saison et avec le seul Andriy Lunin pour occuper le poste, les dirigeants madrilènes n'avaient pas vraiment d'autres choix que de se pencher (rapidement) sur le recrutement d'un remplaçant au portier belge. Plusieurs profils ont été sondés, notamment celui menant à Yassine Bounou, qui occupe le rôle de doublure du côté du FC Séville, derrière Marko Dmitrovic.

Finalement, le Real a jeté son dévolu sur Kepa Arrizabalaga, un dossier qui ne s'annonçait pas simple puisque Thomas Tuchel, son ancien coach du côté de Chelsea souhaitait le rapatrier en Bundesliga. Mais comme l'a confié Jan-Christian Dreesen, le boss du Bayern Munich, les Bavarois ont dû céder face à la préférence de l'Espagnol de signer à Madrid : “Il y a deux jours, nous étions sur le point de pouvoir vous présenter aujourd’hui Kepa. Mais il est Espagnol et il a choisi le Real Madrid“, a-t-il ainsi expliqué en conférence de presse.

Kepa arrive en prêt au Real Madrid

Une information qu'est en mesure de confirmer le toujours bien informé Fabrizio Romano ce dimanche. L'insider affirme qu'un accord a été trouvé entre les Madrilènes et Chelsea pour un prêt d'une saison, jusqu'en juin 2024, sans option d'achat. Le portier espagnol, qui n'était pas présent pour la rencontre face à Liverpool, aurait déjà fait ses adieux à ses partenaires.

Le natif d'Ondarroa a sans doute eu l'assurance de prendre la place (provisoire) de n°1, malgré les déclarations contraires de Carlo Ancelotti, qui expliquait que le gardien qui serait recruté passerait derrière Lunin. On imagine mal Kepa refusait une place de titulaire à Munich (où Neuer est blessé) pour cirer le banc en Liga.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.