Mercato - La drôle de stratégie de l’OGC Nice avec Sirigu

Pour pallier le départ de Kasper Schmeichel, l'OGC Nice souhaite recruter une doublure expérimentée à Marcin Bulka. Les Aiglons auraient jeté leur dévolu sur Salvatore Sirigu.

Durant l'été, le club azuréen a décidé de mettre fin au contrat de Kasper Schmeichel, qui n'a pas donné satisfaction aux dirigeants niçois durant son passage. L'OGC Nice a donc décidé de promouvoir l'ancien portier du Paris Saint-Germain Marcin Bulka au poste de n°1. En conséquence, l'actuel huitième de Ligue 1 est à la recherche d'une doublure pour le Polonais.

Un temps annoncé du côté du FC Lorient, c'est bien Nice qui pourrait obtenir la signature de Salvatore Sirigu dans les prochains jours. Pour rappel, malgré la clôture du marché des transferts depuis le 1er septembre, les clubs sont tout de même autorisés à engager des joueurs libres. Le portier italien est justement sans contrat depuis son départ de la Fiorentina le 1er juillet, avec qui il n'a disputé que deux rencontres la saison dernière avant de se rompre le tendon d'Achille.

Sirigu s'entraîne avec le groupe niçois

Ce vendredi, nos confrères de L'Équipe nous apprennent qu'avant de lui proposer un contrat, les dirigeants niçois ont décidé de mettre Salvatore Sirigu à l'essai, un choix assez surprenant au vu de l'expérience du joueur de 36 ans. L'objectif est sans doute de voir si ce dernier est à 100% physiquement. Le média explique que l'Italien s'entraîne depuis mercredi avec le groupe.

Pour rappel, l'international transalpin a évolué six saisons sous la tunique du PSG, avant de prendre la direction du Torino entre 2017 et 2021 après avoir réalisé un passage en Espagne. Ensuite, il a porté les couleurs du Genoa et de la Fiorentina à partir du dernier mercato hivernal. Le natif de Nuoro compte également 28 sélections avec la Squadra Azzura.

La réponse de l'OGC Nice devrait être connue dans les prochains jours. Si elle venait à être positive, le joueur ferait son retour en Ligue 1 six ans après avoir quitté le championnat de France.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.