Vinicius Jr sait déjà où il signera après le Real Madrid

Arrivé au Real Madrid en 2018, Vinicius Jr est devenu le joueur majeur de l'effectif merengue au fil des mois. Pour autant, le Brésilien n'envisage pas d'y terminer sa carrière.

Depuis quelques années, Vinicius Jr a réalisé d'énormes progrès qui lui ont permis de devenir l'un des meilleurs joueurs de la planète, à seulement 23 ans. Transféré pour 45 millions d'euros en 2018 en provenance de Flamengo, le Brésilien a déjà disputé 232 matchs avec la Maison Blanche, pour 61 buts. Gêné par une blessure en ce début de saison, il a tout de même marqué 3 buts et délivré une passe décisive.

Épanoui sur tous les plans dans la capitale espagnole, le candidat au Ballon d'Or a confié à France Football que le Real Madrid ne serait pourtant pas son dernier club : “J’adore la vie ici en général, et ça se passe bien pour ma famille également, a déclaré l'attaquant. Quand mes proches se baladent, ils sont reconnus et on ne nous souhaite que du bonheur. Petit à petit, j’ai découvert cette nouvelle vie, de nouvelles émotions, une ferveur… Madrid, c’est unique. Dans le monde entier, tout le monde me parle de ce club. Je crois que je pourrais rester ici toute ma carrière, mais le club de ma vie, c’est Flamengo. J’ai promis à mon père d’y retourner un jour. Il faut que je respecte cette promesse.

Avant de rentrer au Brésil, un duo avec Mbappé ?

Le natif de Sao Gonçalo n'entend, malgré tout, pas rentrer au pays tout de suite puisqu'il envisage d'abord d'évoluer aux côtés de Kylian Mbappé, comme il l'a expliqué dans la suite de l'interview : “Ici, tout le monde veut jouer avec Kylian. J'espère que ça se fera un jour. C'est l'un des meilleurs joueurs, peut-être le meilleur de tous aujourd'hui. Il a un niveau… à part !” Un message sans filtre à destination du capitaine de l'équipe de France.

Durant l'été, Vinicius Jr et les dirigeants madrilènes étaient en discussions pour une prolongation de contrat de cinq ans. Signe que le Brésilien entend tout de même s'inscrire dans la durée.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.