EdF : la grosse annonce de Riolo sur les Bleus
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En s’imposant face à l’Écosse en match amical (4-1), l’équipe de France a bouclé un nouveau rassemblement avec deux victoires au compteur.
Les hommes de Didier Deschamps ont poursuivi leur sans-faute dans ses éliminatoires avec un sixième succès en autant de rencontres et se sont même offert une large victoire face aux Écossais en guise de décrassage ce mardi. Un match qui a également permis au sélectionneur des Bleus de faire un peu tourner en alignant notamment Benjamin Pavard dans l’axe ou encore Olivier Giroud en pointe.
Il reste désormais deux matchs de groupe à la France (contre Gilbraltar et en Grèce) mi-novembre avant de basculer sur la préparation de l’Euro à partir de début 2024. Invité à débriefer la rencontre dans l’After Foot, Daniel Riolo a estimé que ce succès avait encore un peu plus renforcé le statut de favori des Bleus pour cette compétition.
“Je ne leur vois pas d’équivalent”
“C’était une soirée très facile pour les Bleus, a jugé l’éditorialiste. On m’avait dit : terrain pourri, équipe remaniée, Écosse en progrès. Ils se sont baladés. C’était un match de vacances, un match de plage. Et ça me fait dire, ce qu’on sait tous, que les Bleus seront les grands favoris de l’Euro, parce qu’aujourd’hui, je ne leur vois pas d’équipe équivalente en Europe. Vraiment.”
Le journaliste de RMC estime que seule une absence de Kylian Mbappé en Allemagne pourrait retirer cette étiquette au finaliste de la dernière Coupe du monde : “Je mettrais une réserve, il faut quand même que Mbappé soit là, conclut-il. Sans Mbappé, c’est le seul élément qu’il me fera dire qu’ils ne vont pas gagner l’Euro. Avec lui, je ne vois pas qui va les arrêter.”
🗣 Daniel Riolo : "les Bleus seront grands favoris de l'Euro. Il faut quand même que Mbappé soit là. Son absence serait le seul élément qui me ferait penser qu'ils ne vont pas gagner l'Euro" pic.twitter.com/l3gm6QchAQ
— After Foot RMC (@AfterRMC) October 17, 2023
Méfions-nous tout de même de ses sorties à huit mois du début de la compétition. Rappelons que la dernière fois que les Bleus étaient annoncés grands favoris, ils avaient chuté face à la Suisse dès les huitièmes de finale.