PSG : “Je suis très attaché à…”, un remplaçant drague son ancien club

Ces dernières années, le Paris Saint-Germain a recruté un nombre important de joueurs, avec plus ou moins de réussite. L'un des remplaçants de Luis Enrique s'est justement confié sur son ancien club.

Depuis son arrivée, Luis Enrique a dégagé une équipe type assez rapidement, que ce soit derrière avec les différentes blessures, au milieu, ou sur le front de l'attaque. Dans l'entrejeu, lorsqu'il évolue en 4-3-3, le technicien espagnol fait confiance à Manuel Ugarte, Warren Zaïre-Emery et Vitinha, cantonnant Fabian Ruiz à un rôle de remplaçant. Depuis le début de la saison, l'international ibérique n'a été titulaire qu'à cinq reprises.

Même s'il a confié se sentir bien en France, le joueur de 27 ans semblait quelque peu regretter de ne pas avoir poursuivi l'aventure du côté du Napoli, d'autant plus avec le titre obtenu par ses anciens coéquipiers la saison dernière : “Je suis heureux pour tout le monde, confie Fabian Ruiz. Pour moi, qui ai remporté le premier titre de ma carrière, et pour Naples, pour la ville, l'équipe, mes anciens coéquipiers. Je suis très attaché à cet environnement, ils méritaient ce titre pour leur façon de vivre le football. Bien sûr, j'aurais aimé le gagner en tant que protagoniste. Mais je me sens très bien en France.

Bientôt un départ du PSG ?

Des déclarations qui font suite aux révélations de France Bleu Paris, qui annonçait que le PSG avait demandé à Fabian Ruiz (et à Carlos Soler) de se trouver une porte de sortie dès le mercato hivernal. L'Espagnol pourrait donc vivre ses dernières semaines chez le champion de France en titre.

Récemment, on apprenait que la Juventus et l'Atlético Madrid s'étaient positionnés sur le cas du milieu de terrain et pourrait donc passer à l'attaque début 2024. Pour rappel les dirigeants parisiens avaient investi 23 millions d'euros l'été dernier pour le faire venir de Naples.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.