Comme son homologue Josep Guardiola, Jürgen Klopp a été convié à parler de l'explication entre l'entraîneur de Manchester City et son attaquant Darwin Nunez.

C'est une rixe qui restera comme l'un des moments forts du match au sommet de la 14e journée de Premier League entre Manchester City et Liverpool, conclu samedi par un score de parité à l'Etihad Stadium (1-1). Alors que l'arbitre venait de siffler la fin de la rencontre, Josep Guardiola s'est pris la tête avec l'attaquant des Reds, Darwin Nunez.

Assez floue au moment de regarder les images en direct, l'altercation entre les deux hommes a trouvé son explication par le refus de l'international uruguayen de serrer la main du technicien espagnol. Questionné par la chaîne britannique Sky Sports, le coach des Citizens est sorti du silence.

“Je les aime tous les deux”

Indirectement concerné par cette brouille en invitant son joueur à se calmer, Jürgen Klopp a également parlé aux médias de cet épisode. L'entraîneur allemand n'a pas souhaité en rajouter. “Cela n'a rien à voir avec une rivalité violente. Ce n'est pas une rivalité féroce. On est rivaux, c'est tout. Où avez-vous vu une rivalité violente ? Sur le terrain, on se défie et cette situation n'a rien à voir avec une rivalité violente historique. Je pense que ça n'a rien à voir avec ça. Je ne suis pas certain d'être la meilleure personne pour expliquer cet échange car je n'étais pas impliqué. Etonnamment ! Je n'ai pas compris un mot.”

Le coach de Liverpool tient à minimiser cette querelle. “Je n'étais pas impliqué et je les aime tous les deux. J'ai plutôt essayé de calmer la situation et je n'ai rien dit. C'est comme ça. Ce n'est rien. C'est de la tension. Guardiola voulait gagner. Nunez voulait gagner. Les deux voulaient gagner, personne n'est content. Il faut comprendre que ça arrive.”