PSG : “Difficile de lui donner des minutes”, Luis Enrique justifie ses choix avec une recrue

Cet été encore, le Paris Saint-Germain a recruté un grand nombre de nouveaux éléments. Luis Enrique ne parvient pas à donner un temps de jeu conséquent à chacune des recrues.

Durant l’intersaison, le PSG a changé de visage après les départs de Neymar, Marco Verratti ou Lionel Messi. La direction francilienne s’est tournée vers des profils de joueurs compatibles avec Kylian Mbappé et également des jeunes à forts potentiels comme Kang-In Lee, Bradley Barcola ou encore Cher Ndour.

Si l’ancien joueur de Majorque joue un rôle important pour le champion de France en titre et se bat même pour une place de titulaire, que le Français obtient de bonnes minutes, ce n’est pas le cas de l’ancien de Benfica, qui n’a eu que 25 petites minutes à se mettre sous la dent depuis son arrivée. Interrogé sur l’utilisation de l’Italien en conférence de presse, Luis Enrique a reconnu qu’il était difficile de lui offrir du temps de jeu avec une telle concurrence.

“Un exemple de ce que doit être un jeune joueur”

C’est un joueur très jeune, international avec les espoirs italiens, rappelle le coach espagnol. Il a des conditions physiques et techniques de très haut niveau. Il serait titulaire partout en L1. Mais ici, il y a de la concurrence et c’est difficile de lui donner des minutes. C’est une pépite et un exemple de ce que doit être un jeune joueur. Il n’a jamais raté un jour en termes de niveau technique et physique. En sachant qu’il n’est pas dans la liste de C1, il s’entraine toujours de manière professionnelle. C’est un joueur avec un grand avenir.

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Cette saison, Cher Ndour devrait malheureusement se contenter des miettes avec sans doute des apparitions en Coupe de France notamment. Pour rappel, le milieu de terrain capable de jouer des deux pieds s’est engagé pour cinq ans avec le PSG.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.