Mercato - OL : les six joueurs visés par Textor, dont un Parisien

Autorisé par la DNCG à recruter durant le mercato d'hiver, l'Olympique Lyonnais compte bien faire bouger les lignes. John Textor serait prêt à investir, a minima, 50 millions d'euros pour renforcer l'effectif.

La petite éclaircie du week-end dernier a été de très courte durée et l'OL a une nouvelle fois sombré sur la pelouse du stade Vélodrome mercredi soir. Les joueurs de Pierre Sage n'ont rien montré offensivement durant 90 minutes et  n'ont pas su contenir le 3-4-1-2 mis en place par Gennaro Gattuso, notamment sur les ailes. Résultat, les Gones sont repartis avec trois buts dans la musette et restent lanterne rouge de Ligue 1 avec  7 points.

Ce n'est pas un secret, John Textor et les dirigeants lyonnais souhaitent recruter cet hiver. La DNCG ayant validé cette possibilité, le club rhodanien va lancer les grandes manœuvres. Deux arrivées sont déjà quasiment actées : celle du gardien du but Lucas Perri et du défenseur Adryelson en provenance de Botafogo, autre club détenu par John Textor. Montant global de la transaction : 20 millions d'euros.

Des recrues à tous les postes

En plus des deux joueurs brésiliens, David Friio et Matthieu Louis-Jean ont dressé une short-list de six noms, affirment nos confrères de L'Équipe. Deux joueurs de West Ham seraient ciblés : Nayef Aguerd et Saïd Benrahma. Des pistes assez prestigieuses et on se demande d'ailleurs comment l'OL pourrait parvenir à signer les Hammers, tant d'un point de vue financier que du projet sportif.

Le média remet également sur la table la piste Guido Rodriguez, suivi cet été, mais le milieu du terrain du Betis Séville vient de se blesser sérieusement. Le nom de Rade Krunic, en fin de contrat en juin 2024 est également évoqué pour l'entrejeu.

Les Gones auraient également des vues sur l'ailier d'Almeria, Largie Ramazani, et surtout sur le lofteur du Paris Saint-Germain Hugo Ekitike, qui n'a plus joué depuis des mois, mais qui est suivi en Premier League. Le plus difficile, sera sans doute de convaincre tout ce beau petit monde.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.