“L’OM n’était pas à sa place”, Nasri voit les Olympiens très haut cette saison

Présent au coup d’envoi de l’Olympico mercredi soir, Samir Nasri est revenu sur la victoire de l’Olympique de Marseille face à l'Olympique Lyonnais (3-0) et s’est livré sur la suite de la saison des Phocéens.

En s’imposant face à Rennes (2-0) et à Lyon (3-0), les joueurs de Gennaro Gattuso ont retrouvé un classement plus en adéquation avec leurs objectifs du début de saison, à savoir terminer parmi les quatre premiers pour disputer la Ligue des Champions (ou a minima les barrages).

Interrogé par le média de l’OM, Samir Nasri s’est exprimé sur le succès obtenu face au rival lyonnais. “C’est une très belle soirée, je suis très content du résultat qui est largement mérité,  a confié l’ancien joueur de Manchester City. On a vu une équipe de Marseille très au point tactiquement ou techniquement. J’ai aimé le visage conquérant de l’équipe. Gagner un Olympico, c’est toujours une sensation spéciale.

“Je ne me fais pas de soucis pour le Top 4”

Dans une réflexion plus globale sur la suite de la saison des Olympiens, le consultant sent que la solidarité amenée par Gennaro Gattuso peut porter l’OM vers les premières places du championnat. “Je suis très optimiste, je pense que l’OM n’était pas à sa place, a estimé Nasri. Il a fallu un temps d’adaptation, c’est normal quand un entraîneur part et un autre arrive. Je sens énormément de cohésion, il a resserré les liens, il fait en sorte que le groupe vive bien. Je suis très confiant pour la suite. L’objectif, c’est d’être dans le quatre premiers et sur ça, je ne me fais pas de soucis. Sur ce point-là, je suis optimiste.

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Le calendrier de l’OM est plutôt favorable en Ligue 1 jusqu’à la trêve hivernale avec des déplacements à Lorient et à Montpellier et la réception de Clermont. Un carton plein permettrait sans doute aux Marseillais se rapprocher du Top 4.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.