Mercato - OL : le montant dérisoire payé pour Perri et Adryelson

Ce vendredi soir, l'Olympique Lyonnais a annoncé l'arrivée de ses deux premières recrues hivernales. D'autres mouvements devraient avoir lieu dans le Rhône dans les prochains jours.

C'était bouclé et c'est désormais officiel : Lucas Perri et Adryelson sont des joueurs de l'OL. Le gardien et le défenseur, brésiliens tous les deux, débarquent en provenance de Botafogo, autre club détenu par John Textor, et se sont engagés jusqu'en 2028. Les deux hommes devront rapidement s'adapter à l'Europe pour pouvoir contribuer dès les prochaines semaines. Même si les Lyonnais sont sortis de la zone rouge à la faveur de trois victoires consécutives, le maintien est évidemment encore loin d'être acquis pour les joueurs de Pierre Sage.

Point positif : l'OL n'a pas beaucoup entamé son budget pour faire signer ces deux joueurs, puisqu'au total, le club n'a déboursé que 6,83 millions d'euros, comme l'a expliqué l'actuel 15ème de Ligue 1 sur son site officiel.

Une bonne affaire ?

L’Olympique Lyonnais est heureux d’annoncer les arrivées, en provenance de Botafogo, du gardien de but Lucas Perri et du défenseur central Adryelson pour un montant, respectivement, de 3,250 M€ et 3,580 M€ auquel pourra s’ajouter un intéressement de 50% sur un éventuel futur transfert. L’Olympique Lyonnais se réjouit de pouvoir accueillir Lucas Perri et Adryelson, qui deviendront les 25e et 26e joueurs brésiliens de l’histoire à porter le maillot de l’OL.“, peut-on notamment lire.

Lucas Perri, international depuis le mois de septembre, a déjà effectué un court passage sur le Vieux continent lors d'un prêt à Crystal Palace, mais n'y avait pas disputé la moindre minute. Ce n'est pas le cas d'Adryelson qui, de son côté, a été prêté un an à Al Wasl Dubaï aux Émirats arabes unis avant de signer à Botafogo.

Dans un premier temps, Perri sera n°2 derrière Anthony Lopes, auteur d'une première moitié de saison à la hauteur, à la différence de bon nombre de ses coéquipiers.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.