PSG : Dugarry décrit le “boulard démesuré” d’un Parisien
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Alors que l'actualité parisienne est chargée, entre l'affaire du remplacement de Kylian Mbappé et le match retour de Ligue des Champions contre la Real Sociedad, Christophe Dugarry a pointé du doigt un Parisien arrogant, selon son expérience.
Le champion du monde 2018 et d'Europe en 2000 a eu une carrière en clubs peu linéaire. Passé par la France – Bordeaux, OM – et l'étranger — AC Milan, Birmingham City, Qatar SC -, le Tricolore a aussi fait quelques mois compliqués au FC Barcelone (juillet-décembre 1997). Assez de temps, cela dit, pour cerner la personnalité de Luis Enrique.
L'Espagnol, qui dirige le PSG, a en effet joué dans le club catalan entre 1996 et 2004.
Luis Enrique a “un ego surdimensionné”
Sur RMC, Christophe Dugarry a décrit un ancien joueur prétentieux : “Quand j'étais au fond du bus, c'est celui qui parlait le plus fort. Et je peux te dire que ce n'était pas simple avec Louis Van Gaal (coach de l'époque, ndlr), qui lui aussi avait un boulard démesuré. C'était surréaliste. Il y avait des scènes que l'on vivait dans le vestiaire avec ce Luis Enrique… Il n'arrêtait pas d'aboyer, il a un ego surdimensionné”.
Si le Français reconnaît que l'ancien ailier était un “très bon joueur de foot”, qui avait “la grinta”, “marquait beaucoup de buts” et “savait faire beaucoup de choses”, Luis Enrique était trop fort en bouche au goût du grand ami de Zinédine Zidane : “Mais par contre, il avait un espèce de boulard démesuré ! Il parlait au-dessus de tout le monde. Pourtant, à l'époque, il y avait (Pep) Guardiola, (Luis) Figo…”
💥 Christophe Dugarry sur Luis Enrique au moment où ils étaient ensemble au Barça : "Il avait un boulard démesuré." #RMClive pic.twitter.com/gMX9wsmral
— Rothen s'enflamme (@Rothensenflamme) March 5, 2024
Prétentieux, Luis Enrique ?
Une analyse partagéee par un confrère de RMC, Daniel Riolo. Le journaliste, pilier de L'After foot, a estimé après la rencontre AS Monaco 0-0 PSG, que Luis Enrique était “prétentieux“, avant de récidiver, ce lundi, en comparant le technicien a une sorte de dictateur. Un règlement de compte médiatique pour l'entraîneur, qui tient bon, et a la confiance de sa direction.