PSG : Luis Enrique prêt à faire un choix fou face à l’OM ?

À plusieurs reprises ces dernières semaines, Luis Enrique a surpris les observateurs par ses choix tactiques. L'entraîneur du Paris Saint-Germain pourrait une nouvelle fois surprendre son monde lors du Classico ce dimanche au stade Vélodrome.

De grosses échéances attendent le PSG dans les jours à venir. Cela commence dès dimanche avec le déplacement au stade Vélodrome pour défier l'Olympique de Marseille puis cela se poursuivra avec la demi-finale de Coupe de France contre le Stade Rennais au Parc des Princes. Ensuite, les joueurs de Luis Enrique joueront leur avenir européen face au FC Barcelone en quart de finale de la Ligue des Champions.

Avec 12 points d'avance sur son poursuivant en Ligue 1, le titre est quasiment assuré pour le club francilien. Les huit matchs de championnat restants ne sont donc logiquement plus une priorité pour le PSG. Même le Classico pourrait passer au second plan, si l'on en croit les dernières indiscrétions du Parisien.

Mbappé et plusieurs cadres sur le banc ?

Selon le média, Luis Enrique pourrait faire débuter Kylian Mbappé sur le banc dimanche soir. La raison ? Le champion du monde 2018 vient d'enchaîner deux matchs de 90 minutes (avec l'équipe de France) pour la première fois depuis le mois de décembre et l'entraîneur espagnol préférerait avoir un Mbappé au top de sa forme pour la demi-finale de Coupe de France mercredi.

Le Bondynois acceptera-t-il de ne pas être aligné dès le coup d'envoi pour son dernier Classico ? Le Français pourrait ne pas avoir son mot à dire. Une chose est sûre, Luis Enrique semble avoir clairement fait ses choix et outre Kylian Mbappé, d'autres cadres pourraient être ménagés pour cette rencontre où l'engagement est souvent au rendez-vous.

Le turnover de l'entraîneur parisien pourrait rééquilibrer quelque peu les débats dimanche soir, même si l'équipe B du PSG reste largement supérieure à une équipe de l'OM décimé par les blessures.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.