La direction du Paris Saint-Germain s'est retirée de la course au recrutement d'un jeune attaquant du championnat brésilien.

Désireux de profiter du prochain mercato estival pour conclure quelques dossiers retentissants, dont celui de l'attaquant amené à pallier numériquement au départ de l'international français Kylian Mbappé, le Paris Saint-Germain surveille également des pépites susceptibles de devenir les futures stars de la planète. Dans cette optique, le club de la capitale a envisagé le recrutement d'un tout jeune footballeur brésilien, courtisé sur le marché des transferts par plusieurs formations majeures du continent.

Le champion de France 2024 faisait partie des prétendants du prodige auriverde Estevão Willian, dit Messinho. Membre de l'équipe première de Palmeiras depuis l'hiver dernier, le joueur âgé de seulement 17 ans compte à ce jour 14 apparitions toutes compétitions confondues avec l'écurie brésilienne, pour 3 buts. Mais la tendance n'est clairement pas à son éventuelle arrivée dans l'Hexagone, du moins selon les informations données par le journal espagnol Sport.

Nos confrères expliquent que le Paris Saint-Germain, un temps annoncé comme le mieux placé pour un transfert du natif de Franca, s'est aujourd'hui retiré de la course, et ce depuis la fin de l'année 2023. À l'époque, le conseiller du président Nasser Al-Khelaïfi, Luis Campos, ne parvenait pas à trouver un accord avec l'état-major de Palmeiras. Plutôt que Messinho, Paris bouclait les arrivées de ses compatriotes Lucas Beraldo et Gabriel Moscardo.

À défaut d'une venue dans l'Hexagone, l'international brésilien U17 semble se diriger vers la Premier League. Arsenal et surtout Chelsea veulent s'attacher ses services. Avec visiblement un avantage pris par les Blues. Toujours selon cette même source, le club de la capitale londonienne est disposé à débourser la somme de 32 millions d'euros hors bonus, pour un montant total estimé à environ 45 millions d'euros. Sous contrat jusqu'en juin 2026, le Brésilien dispose d'une clause libératoire de 60 millions d'euros. Affaire à suivre…