ASSE : le couperet tombe pour Dall’Oglio !
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Une information capitale est tombée sur l'avenir de l'entraîneur de l'AS Saint-Etienne, Olivier Dall'Oglio.
Quelques heures seulement après son retour en Ligue 1 validé aux dépens du FC Metz, après un nul arraché en barrage retour à Saint-Symphorien (2-2), Saint-Etienne a confirmé ce lundi une nouvelle dans les tuyaux depuis plusieurs semaines. Comme attendu, le club basé dans le Forez a été vendu par ses deux actionnaires Roland Romeyer et Bernard Caïazzo à la société canadienne Kilmer Sports Ventures. L'homme d'affaires Larry Tanenbaum devient le nouveau propriétaire des Verts, désormais présidés par Ivan Gazidis, passé par le Milan AC et Arsenal.
Installé à la présidence du club aux dix titres de champion de France, le dirigeant sud-africain s'est présenté devant les médias en marge de la visite des installations du centre d'entraînement, basé à l'Etrat. Epaulé par ses deux collaborateurs Huss Fahmy et Jaeson Rosenfeld, l'homme de 59 ans a dévoilé ses ambitions pour Saint-Etienne, de retour au premier plan après deux saisons en Ligue 2.
“Ce serait stupide de le détruire”
L'occasion notamment pour lui de sceller l'avenir de l'entraîneur Olivier Dall'Oglio. Invité le 12 décembre 2023 à succéder à Laurent Batlles, l'ancien manager de Brest s'engageait alors jusqu'à la fin de la saison 2023-2024, avec une option de douze mois en cas de montée dans l'élite. Mission accomplie pour le natif d'Alès, définitivement confirmé dans ses fonctions par Ivan Gazidis.
“Nous avons un excellent coach en place qui a fourni un gros travail cette saison. Il a pris l'équipe dans un moment difficile et a su créer un véritable esprit dans son groupe. Nous avons avec Loïc (Perrin) et Jeff (Soucasse) des gens capables et humbles avec des bons points de vue. Je pense que Roland (Romeyer) a instauré un esprit dans ce club depuis vingt ans. Ce serait stupide de le détruire. Je veux le préserver, le moderniser, apporter des nouvelles compétences. Mais à la fin, en football, ce sont les relations humaines qui comptent.”