Mercato - PSG : les confidences de Romano sur le dossier Osimhen

Cet été, Kvicha Kvaratskhelia et Victor Osimhen figurent tout en haut de la short list des dirigeants parisiens pour transfigurer le secteur offensif. Si les deux Napolitains se sont déjà entendus avec le Paris Saint-Germain il y a plusieurs semaines, les négociations sont, quant à elles, beaucoup plus difficiles avec l'écurie italienne.

Les dirigeants du Napoli ne sont pas réputés pour être faciles en affaires. Ils l'ont encore montré sur les dossiers Victor Osimhen et Kvicha Kvaratskhelia ces dernières semaines. Les Partenopei ont octroyé un bon de sortie à l'ancien lillois, mais à une seule condition : le club qui souhaite l'acquérir devra débourser les 130 millions d'euros de sa clause libératoire. L'état-major parisien, qui a fait du Nigérian sa priorité au poste de n°9, est entré en négociations, mais sans succès.

Ce jeudi, la presse italienne expliquait que le club francilien s'était résolu à payer les 130 M€ demandés par le Napoli. Interrogé sur la situation de son attaquant, Antonio Conte a confirmé que ce dernier était bel et bien sur le départ.

“Il n'y aura aucun problème”

Nous avions passé un accord avec lui, son départ était acté dès le départ, a expliqué le technicien italien. Concernant le timing, c'est ce que nous avions prévu, il n'y aura aucun problème.” Un accord n'a toujours pas été trouvé entre les deux clubs, annonce cependant Fabrizio Romano, qui ajoute que le joueur s'est, quant à lui, mis d'accord avec le champion de France en titre.

Si le PSG est enclin à mettre 130 M€ sur la table, le deal devrait se boucler très rapidement. En revanche, le dossier Kvaratskhelia pourrait traîner en longueur. En parallèle, Luis Campos avance sur le cas Désiré Doué. La pépite du Stade Rennais souhaite rejoindre la capitale et une première offre de 45 M€ a été refusée par le Stade Rennais. Le club francilien devrait augmenter sa proposition rapidement.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.