La direction de Manchester City est prête à casser sa tirelire pour s'attacher les services de l'attaquant brésilien des Merengue.
Si le moment n'est pas encore venu pour les Citizens de tourner la page, Erling Haaland restera-t-il encore fidèle à Manchester City pendant longtemps ? Bien qu'un départ de l'attaquant norvégien ne soit pas à l'ordre du jour, plusieurs cadors du Vieux Continent scrutent de près la situation de l'ancien artificier du Borussia Dortmund, sous contrat jusqu'en juin 2027.
Entre le Real Madrid ou le Barça, le choix du goleador de 24 ans se précise. Une certitude : une fois acté le départ de son illustre numéro 9, le club basé à l'Etihad Stadium aura l'obligation de réagir sur le marché des transferts et ne manquera à coup sûr pas de liquidités pour se trouver son digne successeur. Parmi les dossiers activés par le champion d'Angleterre 2024, celui menant à Rodrygo Goes.
57 buts depuis 2019
Annoncé sur les tablettes de Liverpool, l'attaquant brésilien du Real Madrid subit de plein fouet les conséquences de l'arrivée de l'attaquant français Kylian Mbappé, avec un temps de jeu plus limité et logiquement moins de buts – 3 en 13 matchs toutes compétitions confondues depuis le lancement de la saison 2024-2025.
Si les Merengue n'envisagent pas une vente à ce stade, l'ancien sociétaire de Santos – recruté à l'été 2019 pour 45 millions d'euros et depuis auteur de 57 buts en 229 matchs – se posera sans doute la question d'un départ au cas où sa situation venait à ne pas évoluer positivement dans ces prochains mois au sein de l'effectif de Carlo Ancelotti.
Quid alors des intentions de Manchester City ? Selon les informations de Fichajes, le mastodonte de la Premier League aurait l'ambition de débourser 150 millions d'euros pour s'attacher les services du natif d'Osasco, et ce alors que sa valeur marchande est aujourd'hui estimée à 110 millions d'euros par Transfermarkt. Nos confrères précisent même qu'en cas de refus de la Maison Blanche, l'état-major anglais pourrait pousser son offre jusqu'à 170 millions d'euros, bonus compris. De quoi faire réfléchir la Casa Blanca ?