Mercato - Montpellier : les révélations de Laurent Nicollin sur le dossier Bamo Meïté

Très peu utilisé par Roberto De Zerbi durant la première moitié de saison, Bamo Meïté a été placé sur la liste des transferts par l'Olympique de Marseille lors de ce mercato d'hiver. Montpellier fait partie des équipes intéressées par ses services.

Trois petites entrées en jeu. C'est le très maigre bilan de Bamo Meïté depuis mi-août. Recruté pour 11,5 M€ en provenance du FC Lorient à l'été 2024, l'Ivoirien n'entre déjà plus dans les plans du club et de son entraîneur. Malgré tout, le défenseur central garde une côte intéressante sur le marché et dispose de deux nouvelles touches en Ligue 1, puisque le RC Lens et le Stade de Reims auraient manifesté leur intérêt ces derniers jours.

Deux pistes qui s'ajoutent à celles de Montpellier et du Stade Rennais. Pour l'instant, aucun de ces quatre clubs ne semble cependant avoir passé la seconde dans ce dossier.

“L'OM veut le vendre”

Dans les colonnes du Midi Libre, le président montpelliérain Laurent Nicollin s'est exprimé sur les discussions avec l'OM. Le fils de l'illustre Loulou explique que les deux formations ne sont visiblement pas dans la même optique.

Avec la blessure de Maksimovic, on peut réfléchir à prendre quelqu’un derrière, alors que Becir Omeragic peut aussi jouer au milieuSi on doit prendre quelqu’un, on engagera plutôt un stoppeur, qui peut jouer arrière droit. Bamo Meïté, que nous avions contacté, a ce profil, mais l’OM veut le vendre. On ne sait jamais ce qu’il peut se passer en fin de mercato“, a confié le dirigeant héraultais.

Dans une situation sportive, mais aussi financière, délicate, le MHSC privilégie sans surprise un prêt du joueur de 23 ans. Pour l'instant, les dirigeants olympiens ne souhaitent pas accéder à ses demandes.

En parallèle, la lanterne rouge de Ligue 1 envisage également de se renforcer devant.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.