Mercato - OM : la demande mercato de De Zerbi à Longoria

Solide dauphin du Paris Saint-Germain, l'Olympique de Marseille a prévu d'effectuer quelques ajustements lors du mercato hivernal pour renforcer encore davantage l'effectif de Roberto De Zerbi. En conférence de presse, le coach italien en a profité pour faire passer un message à ses dirigeants.

Sur une série de cinq victoires en six matchs toutes compétitions confondues, l'OM se déplace à Rennes samedi soir dans le cadre de la 17ème journée de Ligue 1. L'occasion pour les Olympiens de retrouver Jorge Sampaoli et une équipe bretonne qui tente de faire peau neuve à l'occasion du mercato.

C'est un grand entraîneur, il a obtenu de bons résultats ici, a reconnu Roberto De Zerbi en conférence de presse. Ce sera un match difficile, contre une équipe qui se renforce. Recommencer en cours d'année, c'est toujours difficile. Ce sera un test important pour nous. C'est un match difficile, contre une équipe qui est forte, un entraîneur qui est fort. On veut continuer de gagner. On sait très bien que tout ce qu'on a fait jusqu'ici ne compte pas s'il n'y a pas de constance. On veut continuer sans se poser trop de questions.

“Les joueurs importants comme Rongier ou d’autres ne doivent pas partir”

Si le Stade Rennais compte déjà deux recrues dans ses rangs (Brice Samba et Seko Fofana), l'OM a également accueilli un premier renfort en la personne de Luiz Felipe. Le mercato marseillais n'est d'ailleurs probablement pas terminé et Roberto De Zerbi a profité de son passage devant les médias pour faire une demande à Pablo Longoria et Mehdi Benatia.

Le fait que le mercato soit ouvert ne me touche pas. On doit renforcer l’équipe, pas l’affaiblir. Les joueurs importants comme Rongier ou d’autres ne doivent pas partir. Parfois, pour se renforcer il faut aussi vendre. Cela peut permettre d’acheter des joueurs plus fonctionnels à notre système“, a-t-il lancé.

Un message on ne peut plus clair. En parallèle, l'OM tente de réactiver une piste en Ligue 2 : celle menant à Tidiam Gomis.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.