Le clan Alphonso Davies lance ses vérités au Real Madrid

Alors qu'Alphonso Davies arrivait en fin de contrat en juin 2025, son avenir au Bayern Munich a semblé incertain durant plusieurs mois, l'international canadien faisant l'objet d'un intérêt prononcé du Real Madrid. Le latéral gauche a finalement prolongé son bail en Bavière en toute fin de mercato.

Le feuilleton Alphonso Davies est clos. De moins pour l'instant. L'international canadien, qui était l'un des joueurs les plus courtisés en raison de sa situation contractuelle, a discuté avec plusieurs écuries durant cette fenêtre hivernale, dont le Real Madrid, un courtisan de longue date.

“Le Real Madrid était une option sérieuse”

Une information confirmée par l'agent du joueur, qui en a profité pour expliquer la décision de son protégé de s'engager sur le long terme avec le Rekordmeister.

Le Real Madrid était une option sérieuse et nous avons discuté avec eux, ainsi qu’avec d’autres clubs. Mais au final, il fallait prendre une décision, et c’était de rester au Bayern Munich. Bien sûr, avec tout le respect que je dois au Real Madrid, qui est un grand club, l’un des plus titrés de l’histoire. C’est toujours un honneur pour tout joueur de recevoir une offre d’un club comme celui-là, ainsi que du Bayern Munich ou d’autres grands clubs de Premier League. Mais au final, il fallait prendre une décision, et au début, ce n’était pas facile parce que nous n’étions pas sûrs de ce qui se passerait avec le Bayern Munich , et le joueur en était conscient. Nous avons donc gardé toutes les options sur la table. Lorsque vous quittez un club comme le Bayern Munich, vous n'avez pas beaucoup d'options de haut niveau car vous êtes déjà dans l'un des meilleurs clubs du monde. Si vous regardez les meilleurs clubs, le Bayern fait partie des meilleurs“, a expliqué Nedal Huoseh à Winwin.

Alphonso Davies a prolongé jusqu'en 2030 avec le Bayern Munich. Rien ne garanti qu'il sera un joueur bavarois pendant cinq ans, mais ses courtisans auront désormais beaucoup plus de mal à aller le chercher.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.