Mercato OM : le clan de Mario Stroeykens confirme des discussions !

Bien que l'ouverture du marché estival soit encore très lointaine, les premières rumeurs font déjà surface dans la presse. L'entourage de Mario Stroeykens a notamment commenté les rumeurs d'un intérêt de l'Olympique de Marseille en vue de la prochaine intersaison.

Comme à son habitude depuis la prise de fonction de Pablo Longoria, on peut s'attendre à ce que l'OM réalise de nombreux mouvements cet été, même si Roberto De Zerbi dispose déjà d'une base solide pour construire son équipe. Hors départs majeurs (Mason Greenwood, Adrien Rabiot), les dirigeants olympiens devraient probablement se concentrer sur le secteur défensif, qui montre des signes de faiblesse depuis le début de la saison. Les Phocéens suivraient notamment Cheick Keita, couteau suisse à 1,5 M€ qui évolue du côté de Charleroi cette saison.

D'autres dossiers sont évidemment sur la table, et ce, dans d'autres secteurs de jeu. Un nom évoqué il y a quelques mois serait notamment d'actualité si l'on en croit la presse belge.

Anderlecht attend 20 M€ pour lâcher Mario Stroeykens

Mi-octobre, on se demandait ainsi quoi penser de la piste Mario Stroeykens, le milieu offensif d'Anderlecht, capable également de dépanner au poste d'ailier gauche. L'OM n'était pas passé à l'action cet hiver, mais visiblement, l'idée de son recrutement n'a pas été abandonnée sur les hauteurs de la Commanderie.

En effet, le quotidien local La Dernière Heure a contacté l'entourage du joueur de 20 ans qui a confirmé des discussions avec l'actuel 2ème de Ligue 1 pour un transfert estival. Vraie information ou stratégie pour faire grimper les enchères ? Lié jusqu'en juin 2026 avec la formation belge, Mario Stroeykens est évalué à 14 M€ par Transfermarkt, mais sa valeur marchande devrait diminuer dans les prochains mois à l'approche de sa dernière année de contrat.

Pour autant, Anderlecht ne souhaiterait pas le voir partir à moins de 20 M€ précise le média. Affaire à suivre.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.