Un quatuor magique pour Naples ?
La vente d’Edinson Cavani, par exemple au PSG, pourrait permettre aux dirigeants de Naples de récupérer une indemnité d’environ 63 millions d’euros. C’est largement suffisant pour bonifier l’effectif de Walter Mazzarri via l’arrivée de joueurs fantastiques.

Un duo de rêve dans l’entrejeu ? Qu’on se le dise, le club de Naples a envie d’aller titiller la Juventus Turin, double championne d’Italie en titre, la saison prochaine. Les Partenopei ne se cachent plus du tout : ils veulent conquérir un Scudetto attendu par tous les fans au Stade San Paolo depuis 1990. Comme le dit le proverbe : “l’argent est le nerf de la guerre” et par conséquent un grand club a besoin d’avoir les poches bien remplies pour s’installer au très haut niveau. C’est pour cela que la vente d’Edinson Cavani pourrait permettre aux Partenopei de franchir encore un cap.
Même si “El Matador” est assurément l’un des meilleurs artilleurs de la planète (38 buts marqués lors de la saison 2012/2013), force est de constater que son départ (au PSG ?) pourrait permettre au club italien de toucher le pactole sur le plan financier, soit environ 63 millions d’euros. Avec une telle enveloppe, le président Aurelio De Laurentiis pourrait recruter trois voire quatre joueurs de classe mondiale. On apprend par le biais de La Gazzetta dello Sport que les Napolitains lorgneraient déjà Daniele de Rossi (29 ans, AS Rome) et Hernanes (28 ans, Lazio Rome). L’Italien et le Brésilien pourraient s’entendre à merveille sur le terrain.
En effet, les deux hommes ont une qualité de passes remarquable et en prime une intelligence de jeu nettement supérieure à la plupart des footballeurs. En plus de cette paire, les Partenopei rechercheraient aussi deux buteurs capables de faire oublier rapidement Edinson Cavani. Les noms de Stevan Jovetic (23 ans, Fiorentina) et d’Edin Dzeko (27 ans, Manchester City) ressortiraient nettement du lot. Pour se tailler un jour la part du lion, Naples a bien compris que ce mercato s’apparente à un vrai tournant. La rigueur n’est pas à l’ordre du jour en Campanie et il ne serait pas surprenant que l’entraîneur Walter Mazzarri puisse s’appuyer sur une vraie armada dans quelques semaines.