Tombeur du FC Barcelone après un match retour de grande qualité mardi soir (1-4), le Paris Saint-Germain retrouvera le Borussia Dortmund en demi-finale de la Ligue des Champions fin avril. Alors que les deux équipes étaient en ballottage défavorable après le match aller, le PSG et le Borussia Dortmund ont renversé la vapeur pour rallier le dernier de la Ligue des Champions. Après deux affrontements en phase de groupe qui ont débouché sur une victoire parisienne au Parc (2-0) et un match nul en Allemagne (1-1), les deux formations vont se disputer une place en finale. 🚨 OFFICIEL ! On connait la programmation des demi-finales de la Ligue des Champions : 📅 Mardi 30 avril :BAYERN 🇩🇪 – 🇪🇸 REAL MADRID 📅 Mercredi 1er mai :DORTMUND 🇩🇪 – 🇫🇷 PSG 📅 Mardi 7 mai :PSG 🇫🇷 – 🇩🇪 DORTMUND 📅 Mercredi 8 mai :REAL MADRID 🇪🇸 – 🇩🇪 BAYERN pic.twitter.com/y1CT1dJ6If — Actu Foot (@ActuFoot_) April 17, 2024 Pour l’ancien portier du PSG, Bernard Lama, s’imaginer déjà à Wembley serait une très grosse erreur. “Penser qu’on va y arriver parce qu’un adversaire est théoriquement moins fort, c’est un comportement qui a souvent été préjudiciable au sport français, a lancé l’ex-gardien des Bleus au Parisien. La Ligue des champions, c’est le haut niveau, et Dortmund sera extrêmement difficile à battre. Il ne faut vraiment pas croire qu’on est déjà en finale. Il faut jouer les matchs avant de les gagner. Ceux de très haut niveau, c’est impossible de savoir ce qui va se passer avant. Celui de
Formé au Paris Saint-Germain, Mike Maignan fait désormais le bonheur du Milan AC depuis 2021. Encore un joueur que le club francilien a laissé filer. À l’heure actuelle, Mike Maignan fait sans doute partie des 2 ou 3 meilleurs gardiens du monde sous les couleurs de l’AC Milan. Numéro 1 de l’Équipe de France depuis la retraite internationale d’Hugo Lloris, le natif de Cayenne est au sommet de son art et n’est évidemment pas étranger à la présence de son club dans le dernier carré de la Ligue des Champions ou au titre acquis en 2022. Maignan aurait pourtant pu exploser au Paris Saint-Germain, club où il a été formé entre 2009 et 2015, mais dans lequel il n’a pas eu la moindre chance de montrer son talent (aucun match en professionnel). Un raté pour le club de la capitale que Bernard Lama ne digère pas comme il l’a confié au journal L’Équipe. “Le PSG l’a presque foutu dehors” “Le PSG l’a presque foutu dehors, comme il l’a fait avec d’autres, a regretté le champion du monde 1998. On se demande où est la politique du club, ils auraient dû le prêter à Lille, faire comme le Bayern avec Alexander Nübel (Monaco) et voir ensuite ce que ça donne. Et si le gars sort du lot, on le récupère au lieu d’aller acheter un gardien et se planter. Au Milan, il a performé illico. Donnez-moi un meilleur gardien que lui ? Au Milan, il est régulièrement décisif. Il suffit de voir le nombre de buts encaissés,
Bernard Lama a commenté le match à venir entre le PSG et l’OM, dimanche (21h00). Il pense que les Parisiens vivent une crise quasi-similaire à celle qu’à vécu le club marseillais. Il estime aussi qu’ils peuvent profiter du Clasico pour se remettre le public dans la poche. “Ils n’en sont pas loin parce que ce qu’il s’est passé dans la semaine n’est quand même pas très plaisant. Ce sont les joueurs les mieux placés parce que ce sont eux qui décident de ce qu’il se passe, a-t-il expliqué sur RMC Sport. Ils ne vont pas forcément être bien accueillis par leur public d’autant qu’il n’y aura pas de supporter marseillais dans le stade. C’est presque une histoire entre Parisiens. C’est à eux d’aller chercher le soutien du public. Si les joueurs font ce qu’il faut, le public oubliera ce qu’il s’est passé contre Manchester le temps du match même si ça va rester avec ça jusqu’à la fin de saison.” L’OM ne s’est plus imposé sur le terrain parisien depuis février 2010.
Bernard Lama n’est pas du tout convaincu par l’idée du recrutement de Gianluigi Buffon (40 ans) par le PSG. “Son profil me pose un souci. Il n’est pas adapté à l’équipe du PSG, à savoir avec beaucoup de possession, assez haut sur le terrain. Cette façon de jouer suppose que le gardien de but assure une couverture haute derrière la défense, qu’il soit l’initiateur de la relance de l’arrière. Or, ce n’est pas le style de Buffon. Il ne joue pas comme ça dans le football italien et, en plus, son jeu au pied est moyen. Et on oublie un détail… la Juventus ne lui a pas proposé un nouveau contrat. J’ai constaté qu’il avait pas mal décliné sur le plan athlétique depuis quelque temps. Ça ne me rassure pas”, a-t-il lancé à France Football.
Bernard Lama n’est pas convaincu par l’idée d’Antero Henrique, consistant à recruter Gianluigi Buffon (40 ans). Il l’estime trop vieux. “Buffon est l’un des meilleurs gardiens de tous les temps et tout le monde connaît son esprit combatif. Mais il a 40 ans, il n’est plus jeune et le football a changé. Il faut plus de force physique, a estimé l’ancien gardien de but du PSG lors d’un entretien accordé à TMW. Je ne dis pas que c’est un mauvais choix, mais je ne suis pas sûr que ce soit le meilleur choix pour le PSG. Il ne peut pas être le gardien de but du futur de Paris. Bien sûr, je pense à la situation concernant le fair-play financier et j’imagine que le club voulait saisir l’occasion de prendre un grand gardien de but gratuitement…”
Bernard Lama était dans les buts lors de la fameuse qualification du PSG de 1993, face au Real Madrid (1-3, à Madrid, et 4-1, à Paris). Il pense que l’exploit est possible, mardi. “Si le scénario peut se reproduire ? C’est ce qu’on espère ! C’est parti comme il y a 25 ans donc il faut que cela se termine pareil, a lâché l’ancien gardien de but à l’AFP. Cela veut dire qu’il ne faut pas qu’ils se posent de questions. Mais cela ne se passe pas avant, cela ne se passe pas après, c’est pendant qu’il faut faire les choses. À eux de faire le boulot !”
Ancien gardien de but du PSG, Bernard Lama n’est pas convaincu par le niveau d’Alphonse Aréola (24 ans). “Alphonse Aréola est un bon gardien, qui, de mon point de vue, n’est pas suffisamment décisif, a confié l’ancien international français au micro de beIN Sports. Il y a eu deux frappes cadrées de Strasbourg, il y a eu deux ballons qui sont rentrés. Donc cela veut tout simplement dire ça : arrêter les ballons. Et ce quel que soit l’adversaire, mais surtout dans les gros matchs. C’est là qu’on attend le gardien, face aux meilleurs.” L’intéressé devrait apprécier.
Questionné par L’Équipe, Bernard Lama a commenté le manque d’intérêt des Parisiens pour le Clasico. Il trouve que c’est normal. “La rivalité nationale depuis quelques années, c’est Monaco, Lyon. Il n’y a pas un grand Marseille en face. Si c’est pour que ça se termine systématiquement en baston…”, a-t-il lancé, gardant visiblement quelques mauvais souvenirs de ses rencontres face à l’OM.
Lors d’un entretien accordé à So Foot, Bernard Lama a littéralement dézingué son ancien coéquipier en sélection Fabien Barthez. Luis Fernandez et Marco Simone n’ont pas non plus été épargnés. Bernard Lama a qualifié l’ancien gardien de l’OM et des Bleus de “bon soldat, pas très intelligent“. “Il ne fait pas trop d’histoires, il a été le chouchou à une époque mais aujourd’hui, on ne l’appelle pas pour parler de football. Avec Fabien, on s’entendait bien sans être potes. Barthez a été un symbole de la lutte anti-Lama : des joueurs voulaient me sortir et des médias ont joué le jeu de Barthez“, a expliqué l’ancien portier du PSG. Après avoir critiqué la gestion du groupe parisien à l’époque de Luis Fernandez lorsque ce dernier était entraîneur, Lama n’a pas hésité à qualifier Marco Simone de “gros con qui se la racontait“…Voilà qui a le mérite d’être clair.
Dans les colonnes de L’Équipe, Bernard Lama a répondu à Frank Leboeuf. Le défenseur a effectivement considéré avoir été insuffisamment soutenu, avant la finale de la Coupe du Monde 1998, sur SFR Sport. L’ancien portier du PSG estime que le défenseur aurait mieux fait d’en parler en privé, plutôt que de s’étaler au micro d’une chaîne de télévision : “S’il s’est senti seul, qu’est-ce que je devrais dire ? Moi, j’ai été accusé de ne pas vouloir jouer un match, les médias m’en ont mis plein la gueule et je ne suis pas sûr qu’il sache comment j’ai géré cette situation. Si Frank veut se plaindre ou pleurnicher. Je trouve ça dommage. France 1998, on se voit au moins une fois par an. S’il avait quelque chose à dire, c’était là qu’il fallait le faire. Sur un plateau télé, je ne vois pas l’intérêt.”
Interrogé par Marca, Bernard Lama a livré son avis concernant Keylor Navas, le portier du Real Madrid. L’ancien international français (44 sélections) ne paraît pas convaincu par l’homme. “Je l’ai vu au Mondial. C’est un très bon gardien dans les buts mais ce n’est pas un gardien de but charismatique. Dans sa surface, il n’a pas de présence et l’on a vu qu’au match aller, il n’était pas fort dans le jeu au pied. Peut-être que dans un an ou deux, il aura plus de maturité. C’est un très bon gardien mais ce n’est pas le meilleur”, a-t-il expliqué au quotidien espagnol.
Lors d’une interview accordée au Parisien, Bernard Lama a confié son amertume devant l’ambiance actuelle du Parc des Princes. L’ancien portier de l’équipe de France estime même qu’il s’agit du “point faible” du projet qatari. “Il n’y a pas d’ambiance. C’est un peu le point faible de ce projet-là. (…) C’est un peu ce qui a manqué contre le Real aussi, c’est qu’il y ait une atmosphère qui amène les joueurs à se surpasser. Quand on rentrait au Parc lors de notre épopée européenne, c’était dès l’échauffement qu’on était poussé, qu’il y avait des chants. Il y avait une organisation, il y avait des clubs de supporters. OK, il a fallu faire le ménage, ça on le comprend parfaitement mais je pense qu’on peut très bien organiser les choses aussi puisque tout le monde est contrôlé au Parc maintenant, on sait qui il y a dans le stade… On peut très bien réorganiser les choses pour qu’il y ait une vraie chaleur. Parce que ça manque aujourd’hui. Le supporter a son rôle à jouer aussi. Le public ne demande que ça, Paris est prêt à s’enflammer. On n’est pas comme au théâtre. Je conçois difficilement que l’équipe soit coupée de son public”, a-t-il déclaré dans les colonnes du quotidien.
Entre 1992 et 1997 puis entre 1998 et 2000, le gardien de but Bernard Lama a évolué au PSG et il a laissé un très bon souvenir aux supporters. Sur les ondes de la radio RMC, celui qu’on surnommait “Le Chat” a parlé de certains joueurs du club de la capitale. A ses yeux, l’équipe parisienne a beaucoup de chance d’avoir dans ses rangs un portier aussi talentueux que Salvatore Sirigu même si l’Italien peut encore franchir un cap au cours des années à venir. “Je voudrais corriger la façon dont laquelle mes propos ont été utilisés sur Sirigu. La première chose que j’ai dite sur lui, c’est qu’il est l’un des meilleurs voire le meilleur gardien sur sa ligne. La seconde chose que j’ai dite, c’est que s’il souhaite devenir un très grand gardien, il doit améliorer son jeu aérien et son jeu au pied”, a-t-il tenu à préciser sur les ondes de la radio RMC. Autrement dit, Bernard Lama n’a pas du tout apprécié que des médias laissent entendre il y a quelques mois qu’il pointait du doigt le recrutement de Salvatore Sirigu alors que ce n’était pas du tout le cas. En ce qui concerne l’attaquant Jérémy Ménez, Bernard Lama a vivement taclé l’international français qui n’a pas l’air d’accepter le jeu de la concurrence au Parc des Princes surtout depuis que le Brésilien Lucas Moura a posé ses valises dans l’Hexagone durant le mois de janvier. A ses yeux, ce dernier doit vraiment devenir plus mature pour avoir une chance sérieuse
L’ancien gardien de but du PSG, Bernard Lama, suit toujours de près ce qui se passe au sein du club de la capitale. Pour lui, le portier italien Salvatore Sirigu ne bloque pas assez de ballons durant les matches. Par le biais de France Football, l’ex-dernier rempart de Palerme a fait savoir qu’il ne peut pas toujours faire ce qu’il veut sur un terrain de football. “Chacun a le droit de donner son avis. Il y a des fois où tu arrives à bloquer, et d’autres fois où tu décides d’assurer le coup en mettant les poings parce que les conditions climatiques sont difficiles ou parce que les ballons, qui sont fait avec des matières un peu bizarres, sont de plus en plus flottants.”
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