Mercato - Real Madrid : Ancelotti recale son ancien club

Alors que les rumeurs se multiplient autour de l'avenir de Carlo Ancelotti, le technicien italien a définitivement écarté un retour dans l'un de ses anciens clubs.

Depuis plusieurs semaines, l'avenir de Carlo Ancelotti se trouve au centre des rumeurs du côté du Real Madrid. Un temps évoqué pour prendre les rênes de la sélection brésilienne, le nom de l'Italien est associé à la quasi-totalité des grands clubs à la recherche d'un entraîneur. Pourtant, l'ancien coach du Paris Saint Germain a répété à plusieurs reprises qu'il souhaitait honorer sa dernière année de contrat avec les Merengues encore très récemment : “Il existe un joli dicton qui s'applique bien à cette affaire : le vent emporte les bavardages. J'ai un contrat jusqu'au 30 juin 2024 et j'aimerais le respecter“, a-t-il déclaré.

Le technicien en a également profité pour annoncer que son fils n'allait pas devenir l'entraîneur du FC Bâle comme annoncé par la presse espagnole, expliquant que le duo Carlo-Davide serait bien présent dans la capitale espagnole l'année prochaine. Ces derniers jours, des bruits de couloir le renvoyaient aussi du côté de Chelsea, où il a connu une expérience entre 2009 et 2011. L'Italien s'est exprimé à ce sujet en conférence de presse.

“Je ne retournerai pas là-bas”

J'ai des souvenirs fantastiques à Chelsea, s'est d'abord remémoré Ancelotti. Je suis un supporter de ce club, mais je ne retournerai pas là-bas. Je pense que Frank Lampard est l'homme de la situation et qu'il va réaliser un très bon boulot avec eux.” Nommé jusqu'à la fin de la saison, l'Anglais ne devrait plus être à la tête des Blues la saison prochaine. En effet, les dirigeants londoniens hésiteraient entre Julian Nagelsmann ou Luis Enrique pour un projet à plus long terme.

De son côté, Carlo Ancelotti arrivera au terme de son contrat à la fin de la saison 2024. Pour l'instant, aucune négociation n'a eu lieu concernant une prolongation.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.