Mercato - L’OM de nouveau prêt à piocher en Liga ?

Après avoir recruté plusieurs joueurs en provenance de Serie A lors des derniers mercatos, Pablo Longoria et Javier Ribalta semblent désormais regarder de l'autre côté des Pyrénées depuis l'arrivée de Marcelino.

Depuis que l'Olympique de Marseille a officialisé l'arrivée de Marcelino, les choses se sont accélérés sur le marché des transferts pour les Olympiens. Ce mercredi, Fabrizio Romano a indiqué qu'un accord avait été trouvé entre l'OM et l'Atlético Madrid pour la venue de Geoffrey Kondogbia. Un montant de 8 millions d'euros est évoqué, alors que le milieu de terrain devrait toucher un salaire de l'ordre de 500 000 euros par mois.

La presse espagnole rapporte que les Phocéens pourraient ne pas s'arrêter là et continuer leur marché en Liga. Désireux de renforcer les côtés de la défense en raison d'un passage à quatre défenseurs, l'état-major marseillais aurait des vues sur Thierry Rendall Correia, l'arrière droit du FC Valence.

Une première approche auprès de Valence

En effet, la Cadena Ser affirme que des premiers contacts ont été noués entre l'OM et le récent 16ème de Liga pour tâter le terrain et savoir si le Portugais était disponible cet été. C'est d'ailleurs Pablo Longoria qui avait recruté Correia lorsqu'il était en poste au FC Valence. À l'époque, l'Espagnol avait déboursé 12 millions d'euros pour le faire venir du Sporting Portugal en 2019.

Désormais, les pensionnaires de Mestalla attendraient une offre officielle de la part des dirigeants marseillais pour le joueur de 24 ans. Sous contrat jusqu'en 2026, Correia est évalué à 8 millions d'euros selon Transfermarkt. Après une saison très compliquée, Valence a besoin de vendre et pourrait donc ne pas demander un gros chèque pour un joueur qui n'a jamais vraiment explosé en Espagne. Si le transfert venait à se conclure, le Portugais viendrait sans doute dans un rôle de doublure de Jonathan Clauss, qui devrait conserver sa place de titulaire, même dans une défense à 4.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.