Mercato - Kolo Muani sort du silence à propos du PSG !

Le dossier Randal Kolo Muani a pris du plomb dans l'aile, ce mardi, alors que le Français Hugo Ekitiké n'a pas trouvé d'accord avec l'Eintracht Francfort. Mais le Français évoluant en Allemagne a pris la parole.

Envoyé en Allemagne en échange de l'attaquant international français, le Parisien de 21 ans, qui touche un salaire énorme – 600 000 euros par mois environ – pour la formation germanique, n'a pas trouvé d'accord avec le dernier 7ᵉ de Bundesliga. Ce qui pourrait mène le deal dans l'impasse et pourrait le faire définitivement capoter, alors que le PSG et Francfort ne trouvent pas d'accord sur la somme nécessaire pour recruter l'ancien joueur du FC Nantes.

Et que Hugo Ekitiké est suivi en Angleterre.

Kolo Muani demande son départ

Échaudé par la situation, Randal Kolo Muani a pris la parole pour Sky Sports, d'abord en caressant les supporters de la formation allemande dans le sens du poil : “Je dois beaucoup à l'Eintracht Francfort. J'ai les fans dans mon cœur et je me suis toujours comporté de manière professionnelle. J'ai toujours tout donné pour le club, jusqu'à la toute fin”.

Puis, le buteur de 24 ans a ensuite avoué vouloir rejoindre le club de la capitale française : “Cependant, ce n'est un secret pour personne, le Paris Saint-Germain a fait une offre record pour mes services. Un transfert à Paris est pour moi une opportunité unique. J'aimerais partir à Paris et j'en ai également informé les responsables (de l'Eintracht Francfort, ndlr). J'espère et souhaite que l'Eintracht accepte l'offre de Paris et que ce transfert me soit désormais rendu possible”.

Cette prise de parole pourrait être décisive dans le dossier : après la prise de position officielle de Randal Kolo Muani, qui veut quitter Francfort pour signer au Paris Saint-Germain, le club du championnat d'Allemagne pourrait adoucir sa position, et se montrer plus conciliant avec la formation tricolore.

Maxime Brun
Rédacteur cinéphile et fan de l'OM, j'aime les numéros 10 et les jolies passes.