Ces dernières semaines, les affaires extra sportives se multiplient dans le football. L'une d'entre elles a valu une suspension de deux ans pour dopage à un champion du monde.

Alors que le Tricolore Paul Pogba est dans de beaux draps, après avoir été testé positif à la testostérone, Papu Gomez a, lui, été écarté des terrains pour 24 mois, après un contrôle positif à une substance prohibée. Ce test, réalisé avant la Coupe du monde 2022, à laquelle le milieu offensif de 35 ans a participé, a valu une sanction un peu moins d'un an plus tard à l'Argentin.

Libéré de son contrat avec le FC Séville à la fin du mercato estival, l'ex de l'Atalanta Bergame s'était engagé avec Monza, en Serie A, le 29 septembre. Papu Gomez a joué 40 minutes avec sa nouvelle équipe cette saison.

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Dans un long message publié sur les réseaux sociaux, l'ex-Sévillan affirme avoir “toujours strictement respecté les règlementations”, tout en expliquant sa sanction : “L'infraction présumée découle de la présence de Terbutaline dans mon corps à la suite de l'absorption accidentelle, involontaire et non intentionnelle d'une cuillère de sirop pour la toux de mon jeune fils. Il convient toutefois de préciser que l'usage thérapeutique de la Terbutaline est autorisé pour les sportifs professionnels et qu'elle n'améliore en rien les performances sportives dans le football”.

https://twitter.com/La_MinuteFoot/status/1716119630169690266

Manifestement, les autorités antidopages ne sont pas en accord avec l'Argentin.

Mourinho ironise

Alors que l'avenir sportif du milieu offensif s'assombrit, José Mourinho est sorti du silence sur la situation, ce dimanche, alors que Papu Gomez a taclé la semaine dernière le coach portugais de l'AS Roma, en disant ne se souvenir de lui que pour la finale de Ligue Europa perdue par le club italien contre le FC Séville, l'an dernier.

Le Special One, lui, a ironisé sur la situation : “Je tousse, mais je ne prends ni sirops ni pilules. Ou alors j'aurais peut-être du mal à passer les contrôles anti-dopages”.