PSG : “Je ne travaille pas cela”, les confidences de Luis Enrique

Avant de s'envoler vers Milan pour disputer la 4ème journée de Ligue des Champions, le Paris Saint-Germain de Luis Enrique ouvrira la journée de Ligue 1 avec la réception de Montpellier ce vendredi.

Certains voient les matchs qui précèdent une rencontre européenne comme une sorte de répétition générale, mais souvent, il n'en est rien. Du moins pour le PSG, qui a régulièrement eu du mal à produire une bonne prestation, que ce soit face à Nice (2-3), à Clermont (0-0), ou à Brest plus récemment (2-3). L'objectif sera donc de prendre les trois points en évitant les blessures face au MHSC.

Pour cette rencontre, Luis Enrique pourra d'ailleurs retrouver Marco Asensio, éloigné des terrains depuis plusieurs semaines : “Je suis très content de son retour. Il peut jouer à différents postes, comme faux neuf, dans les couloirs et dans l'axe au milieu. Il est polyvalent. Je peux changer ma tactique en cours de match sans changer de joueur. C'est un joueur qui ne perd pas le ballon même sous le pressing et c'est important pour nous“, a déclaré le technicien au sujet de l'ancien du Real Madrid.

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“Certains tiraient mal et se sont améliorés”

Le joueur de la Roja est également un atout précieux pour tirer les coups francs. Un aspect que le coach parisien a reconnu ne pas travailler à l'entraînement, préférant laisser libre cours aux inspirations de son groupe : “Je ne travaille pas cela, confie le technicien espagnol. Ce sont les joueurs qui veulent les tirer qui s'entraînent. Certains tiraient mal et se sont améliorés en travaillant. On voit parfois des joueurs comme Hakimi, Lee ou Asensio et Soler s'entraîner dans cet exercice. J'envoie tirer les joueurs qui sont en confiance. Cela dépend aussi des qualités techniques.

Pour l'instant, seul Achraf Hakimi a inscrit un coup franc direct pour le PSG depuis le début de la saison. C'était face à l'OM lors du Classique.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.