On sait où se rejouera OM-OL !

Mercredi soir, la LFP a statué sur les incidents ayant empêché l'opposition entre l'Olympique de Marseille et l'Olympique Lyonnais de se tenir. L'instance a également communiqué sur la tenue du match le 6 décembre prochain.

Saisie par le Président de la LFP sur le fondement de l’article 4 du Règlement disciplinaire de la LFP, la Commission de Discipline, après avoir pris connaissance des éléments du dossier et procédé à l’audition des deux clubs, constate que les incidents qui se sont produits sur la voie publique ne sont pas susceptibles d’engager la responsabilité du club organisateur. Par conséquent, la Commission ne donnera pas de suite disciplinaire à ces incidents“, a notamment communiqué la Commission de discipline au sujet des incidents, dédouanant ainsi l'OM, qui ne sera donc pas sanctionné sportivement.

Après avoir acté la date du report de la rencontre au 6 décembre, la LFP a rendu sa décision concernant les conditions dans lesquelles l'Olympico allait être rejoué. Au stade Vélodrome ou ailleurs ? Avec du public ou à huis clos ? L'instance a tranché !

On prend les mêmes et on recommence !

Ce jeudi matin, la Commission de discipline a annoncé que le match se rejouerait au stade Vélodrome avec la présence du public : “Réunie mercredi 8 novembre 2023, la Commission des Compétitions de la LFP a décidé, à la suite des informations et garanties transmises par la Préfecture des Bouches-du-Rhône, de faire jouer la rencontre Olympique de Marseille – Olympique Lyonnais, comptant pour la 10e journée de Ligue 1 Uber Eats, à l’Orange Vélodrome, le mercredi 6 décembre 2023 à 21h00. Ce match sera diffusé sur Prime Video“, peut-on lire dans un communiqué.

Une décision qui ne manquera pas de faire parler, notamment du côté de l'Olympique Lyonnais. Pour rappel, l'OM pointe actuellement à la 9ème place de Ligue 1, alors que les hommes de Fabio Grosso occupent toujours la place de lanterne rouge du classement.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.