OM : “Je n’ai jamais autant aimé…”, les révélations d’Aubameyang sur le meilleur moment de sa carrière

Sorti sous les sifflets du stade Vélodrome lors de la réception du LOSC le week-end dernier, Pierre-Emerick Aubameyang est visé par les critiques ces dernières semaines.

Un seul but en dix matchs de Ligue 1. C'est la statistique assez peu reluisante de Pierre-Emerick Aubameyang depuis son arrivée à l'Olympique de Marseille cet été. Le Gabonais, recruté pour endosser le rôle (dans un style différent) d'Alexis Sanchez en tant que leader de l'attaque phocéenne, est à la peine et les supporters marseillais ont même commencé à le prendre en grippe, comme on a pu le constater samedi dernier.

Loin d'être le seul à décevoir devant, le joueur passé par Chelsea, Arsenal ou encore Dortmund est malgré tout le symbole d'une attaque en difficulté. Dernièrement, Gennaro Gattuso était montré au créneau pour défendre son attaquant : “Il joue très bien, mais ne marque pas, si son nom n'était pas Aubameyang, il n'y aurait pas autant de critiques. Vitinha et Pierre sont deux attaquants différents, Vitinha est plus physique. Ils participent au jeu de notre équipe et c'est important. Je suis content de mes deux attaquants. Notre attaque a un niveau très élevé.

Aubameyang se confie sur sa meilleure période

Le buteur de 34 ans a accordé une interview à Prime Video, revenant notamment sur son passage au FC Barcelone. Des standards qu'il est pour l'instant loin de retrouver avec l'OM : “Mon séjour au Barça a été les six meilleurs mois de ma carrière, a lancé le Marseillais. Je n’ai jamais autant aimé jouer au football et m’entraîner. Je suis même allé m'entraîner pendant les jours off. C'était incroyable.

Durant cette période, Pierre-Emerick Aubameyang avait inscrit pas moins de 13 buts en 24 rencontres toutes compétitions confondues entre février et mai 2022.  Blessé lors de la dernière rencontre face à l'AEK Athènes, le Gabonais est de retour dans le groupe olympien pour le déplacement à Lens.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.