Le sélectionneur de l'équipe de France, Didier Deschamps, s'est exprimé à la veille du très attendu tirage au sort de l'Euro 2024. Le manager des champions du monde 2018 a pris une décision forte…

Grâce à sept victoires en huit journées, la France a bouclé les éliminatoires de l'Euro 2024 à la première place du groupe B, synonyme d'un statut de tête de série pour le tirage au sort de la compétition programmé ce samedi à partir de 18 heures, à Hambourg.

Comme expliqué sur notre site, la présence des Bleus dans le chapeau 1 ne les empêcheront peut-être pas de tomber sur une ou plusieurs nations majeures du continent. S'il sera impossible pour les partenaires de Kylian Mbappé d'affronter l'Allemagne, le Portugal, l'Espagne, la Belgique et l'Angleterre, autant de pays également têtes de série, les champions du monde 2018 peuvent hériter des Pays-Bas ou de la Croatie (chapeau 3) ou de l'Italie (chapeau 4), parmi les adversaires les plus prestigieux.

L'obligation de “respecter quelques jours de repos”

En attendant que la France ne connaisse ses trois adversaires de la phase de poules, une certitude à l'heure actuelle. Ce vendredi, une information est tombée sur le sélectionneur tricolore, Didier Deschamps. Le Bayonnais ne pourra pas assister au tirage au sort. Dans un communiqué, la Fédération française de football a fait savoir que le manager de 55 ans doit renoncer à ce déplacement outre-Rhin après avoir subi une opération chirurgicale, conséquence de douleurs dorsales.

“Ce n'est pas de gaité de cœur que j'ai renoncé à me rendre au tirage au sort. C'est toujours un moment agréable durant lequel j'ai beaucoup de plaisir à échanger avec mes homologues, notamment. Mais la sagesse commandait de respecter quelques jours de repos. Je suivrai bien évidemment avec grande attention le tirage au sort à la télévision. Ce tirage au sort est un moment important pour toutes les équipes qualifiées. Une fois notre groupe connu, nous pourrons valider le choix de notre camp de base et commencer à étudier dans le détail le jeu de nos futurs adversaires, même si nous les connaissons globalement tous bien.”