Mercato - La stratégie surprenante du PSG pour l’après-Mbappé

Selon toute vraisemblance, Kylian Mbappé ne prolongera pas l'aventure au Paris Saint-Germain et devrait s'engager avec le Real Madrid l'été prochain. Les dirigeants franciliens doivent désormais préparer l'avenir sans leur vedette.

Bien que Kylian Mbappé n'ait pas encore fait part son choix publiquement, les médias ont parlé pour lui ces derniers jours. Samedi, nos confrères du Parisien ont annoncé que le capitaine de l'équipe de France avait décidé de signer au Real Madrid à l'issue de l'exercice 2023-2024. Du côté de la Maison Blanche, c'est la sérénité qui règne selon diverses sources, les dirigeants merengues étant confiants quant à la possibilité de rapatrier le Français en Liga l'été prochain.

Pour trouver le successeur du meilleur buteur du l'histoire du PSG, plusieurs noms ont déjà fleuri dans la presse dernièrement, notamment en provenance de Serie A comme Rafael Leao ou encore Victor Osimnhem, comme le confiait The Telegraph. Mais d'après les informations du Parisien, la stratégie de QSI pourrait finalement être toute autre.

Fini le bling-bling ?

Le média explique que le champion de France en titre ne devrait pas se positionner sur les meilleurs attaquants de la planète, mais davantage se tourner vers de jeunes talents, dans la continuité de ce qui est réalisé depuis l'été 2023. Pour illustrer leurs propos, nos confrères citent notamment le nom de Xavi Simons, prêté par le PSG du côté du RB Leipzig cette saison.

Même si Kylian Mbappé évolue dans une position de n°9 depuis quelques semaines, Luis Campos se tournera peut-être davantage sur le recrutement d'un ailier, position préférentielle du troisième au Ballon d'Or 2023. Rappelons tout de même que le leader de Ligue 1 a dépensé 180 millions pour s'attacher les services de Gonçalo Ramos et Randal Kolo Muani lors de la dernière intersaison. Voir l'un de deux joueurs titulaires la saison prochaine ne serait pas forcément une hérésie.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.