Le Paris Saint-Germain se retrouve en “guerre” avec ses dirigeants concernant de juteuses primes de résultats à ce jour non perçues.

Sacré champion de France et lauréat de la Coupe de France, le Paris Saint-Germain a gardé la mainmise sur la concurrence nationale à l'issue d'une saison 2023-2024 qui restera marquée par une élimination contre les Allemands du Borussia Dortmund en demi-finales de la Ligue des champions. Pour les partenaires de Gianluigi Donnarumma, l'heure n'est pas venue de dresser un bilan de cet exercice mais de penser encore… à la saison 2022-2023. Pour être plus précis, le vestiaire francilien est confronté à un problème de taille toujours pas réglé à ce jour avec les dirigeants du club de la capitale.

Marquinhos remonté comme une pendule

Si l'on en croit les informations dévoilées ce lundi par le quotidien L'Equipe, la tension monte au sein de l'effectif du Paris Saint-Germain au sujet de primes collectives non touchées, celles qui concernent le précédent exercice. Vainqueurs du Trophée des Champions et de la Ligue 1 sous les ordres de Christophe Galtier, sortis par le Bayern Munich en huitièmes de finale de la Ligue des champions et par l'Olympique de Marseille en huitièmes de finale de la Coupe de France, les Parisiens réclament environ 300 000 euros par tête. Nos confrères expliquent qu'aucun accord n'a été trouvé à ce jour entre les deux parties.

Selon le quotidien sportif, la piètre saison réalisée par les coéquipiers de Kylian Mbappé a poussé le président Nasser Al-Khelaïfi à ne pas honorer cet engagement. Chef de file de la révolte, le défenseur central brésilien Marquinhos a regretté à plusieurs reprises le non-respect de cet accord. De son côté, la direction du Paris Saint-Germain fait savoir que n'existe pas le moindre document signé susceptible de confirmer l'accord oral passé avec les représentants du vestiaire repris en main par Luis Enrique. Affaire à suivre…