Mercato - Naples ouvre grand la porte au PSG pour Victor Osimhen !

Déjà sur le dossier cet été, le Paris Saint-Germain pourrait revenir à la charge pour s'attacher les services de Victor Osimhen au mois de janvier. L'international nigérian est prêté à Galatasaray par le Napoli, mais l'écurie italienne serait encline à le transférer définitivement au plus offrant.

En milieu de semaine, Daniel Riolo a mis une (grosse) pièce dans la machine. Dans l'After Foot, le journaliste de RMC a révélé que Luis Enrique avait changé d'avis sur la question du n°9 et qu'il était désormais ouvert à l'idée de recruter Victor Osimhen, lui qui s'était opposé à sa venue durant l'intersaison. “Ça discute de façon assez sérieuse“, avait ajouté l'éditorialiste.

D'autant que la star ciblée pour le mois de janvier ne coûterait désormais que 75 M€, le Napoli se montrant beaucoup moins gourmande qu'il y a quelques mois. Durant l'été, le club partenopei souhaitait vendre le duo Osimhen – Kvaratskhelia pour près de 250 M€.

“C'est techniquement possible”

Les dirigeants italiens ont revu leurs exigences à la baisse et ont d'ailleurs évoqué une potentielle signature au PSG. La porte est visiblement ouverte.

Oui, c'est techniquement possible, mais personne ne nous a appelés“, a assuré Giovanni Manna, le directeur sportif du leader de Serie A à SportMediaset.

Le futur de Kvicha Kvaratskhelia demeure, lui aussi, assez flou, même si le club et Antonio Conte tiennent évidemment à l'international géorgien, auteur de 5 buts et 3 passes décisives en 16 rencontres toutes compétitions confondues.

Avec Kvara, nous nous sommes vus, nous avons parlé. La situation est très claire : soit nous trouvons une solution, soit nous en parlerons à la fin de la saison. Il a encore deux ans de contrat, nous voulons qu'il soit concentré sur le terrain et nous voulons le récompenser. Nous sommes calmes“, a-t-il ajouté.

Les dirigeants parisiens pourraient avoir un coup à jouer dans ce dossier également lors de la prochaine intersaison.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.