Mercato - OM : les raisons du refus de Nicola Zalewski dévoilées

Priorité de l'OM pour renforcer le poste de piston gauche en cette fin de mercato, Nicola Zalewski ne rejoindra pas l'Olympique de Marseille. Les dirigeants phocéens disposaient pourtant d'un accord avec l'AS Roma pour la venue de l'international polonais.

Point faible de l'OM depuis le début de la saison, la défense est toujours en chantier à cinq jours de la clôture du marché. Malgré l'arrivée de Luiz Felipe, plusieurs joueurs sont sur le départ dans ce secteur de jeu (Lilian Brassier, Bamo Meïté) et, en parallèle, le club cherche à recruter au poste de piston gauche. Les Phocéens avaient jeté leur dévolu sur Nicola Zalewski, le polyvalent joueur de l'AS Roma et étaient tout proches d'un accord avec l'écurie de Serie A.

Cependant, la piste Zalewski a pris fin, l'international polonais donnant sa préférence à l'Inter Milan. Sauf gros retournement de situation, il ne prendra donc pas la direction de l'Hexagone durant ce mois de janvier.

De Zerbi, seul argument pour sa venue à l'OM ?

D'après des échos venus de l'autre côté des Alpes, Nicola Zalewski n'a jamais eu réellement l'intention de quitter l'Italie. Selon les informations obtenues par Il Messaggero, le Polonais aurait accepté de signer à Marseille seulement pour Roberto De Zerbi, mais il n'était pas assuré que le coach transalpin soit encore présent la saison prochaine.

On imagine également que le challenge sportif proposé à l'heure actuelle par l'Inter est beaucoup plus attrayant, puisque la formation entraînée par Simone Inzaghi a bouclé la première phase de Ligue des Champions à la 4ème place et sera au rendez-vous des huitièmes de finale.

Pour trouver la perle rare, la rédaction de Top Mercato a listé 5 pistons gauches pour oublier Nicola Zalewski.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.