Un ancien lillois vendu pour 138 M€ à Liverpool ou Manchester City ?

L'été prochain, de nombreux mouvements pourraient avoir lieu chez les cadors de Premier League. Liverpool et Manchester City seraient notamment à la lutte pour recruter un ancien lillois.

Il n'y a plus le moindre doute, Manchester City a prévu de faire bouger les lignes lors de la prochaine intersaison. Aucun secteur de jeu ne sera épargné. Une liste de trois gardiens de buts de Liga a été dressée par Pep Guardiola pour remplacer Ederson, et on peut s'attendre à ce que la défense, le milieu et l'attaque connaissent un chamboulement identique.

Pour renforcer un entrejeu qui sera probablement amputé de Kevin De Bruyne, Ilkay Gundogan, Matteo Kovacic et Bernardo Silva, les Skyblues auraient coché le nom de Carlos Baleba, qui impressionne depuis qu'il a rejoint Brighton en 2023. L'ancien du LOSC a également tapé dans l'œil de Liverpool et les Seagulls vont en profiter pour faire monter les enchères.

Je veux aller chercher plus grand et titiller les plus grands joueurs dont on parle aujourd’hui“, déclarait le jeune camerounais fin 2024.

Un transfert encore plus élevé que celui de Moises Caicedo ?

Selon les informations de GiveMeSport, Brighton attendrait pas moins de 115 M£ pour lâcher Carlos Baleba, soit plus de 138 M€. Si la formation entraînée par Fabian Hürzeler parvenait à recolter une telle somme, le joueur de 21 ans deviendrait tout simplement la plus grosse vente du club, devant Moises Caicedo, cédé pour 116 M€ à Chelsea l'été dernier.

Il est d'ailleurs étonnant que les Blues n'apparaissent pas dans cette rumeur. Pour rappel, le LOSC l'avait transféré pour 27 M€ vers la Premier League. Aujourd'hui, Carlos Baleba est évalué à 35 M€ par Transfermarkt et dispose d'un contrat courant jusqu'en juin 2028.

Difficile malgré tout d'imaginer une formation offrir plus de 100 M€ pour le milieu de terrain. À l'heure actuelle, un départ pour environ 50-60 M€ semble plus envisageable.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.