Real Madrid : Camavinga kiffe ses nouveaux pectoraux et révèle le nom de son “grand frère” du vestiaire

Lors d'un entretien accordé à France Football, Eduardo Camavinga est notamment revenu sur sa première saison au Real Madrid, sa relation spéciale avec David Alaba ou encore son évolution. 

Transféré l'été dernier dans la capitale espagnole en provenance du Stade Rennais contre un chèque de plus de 30 millions d'euros (hors bonus), le milieu de terrain français a évoqué sa progression des derniers mois. “Est-ce que ça vous transforme, huit mois au Real ? Ouais, quand je me vois torse nu dans des vidéos, je me rends compte que j'ai pris. Ah, c'est le plus grand club du monde, hein ! Ce n'est pas rien. Tout va plus vite sur le terrain, dans ton développement, partout… Mais c'est comme tous les jobs, en fait : si tu es dans un top environnement et qu'en plus tu t'y sens comme à la maison, tu évolues rapidement”, a confié l'international tricolore.

Camavinga a ensuite encensé son coéquipier David Alaba, arrivé quelques semaines avant lui au Real Madrid. L'international autrichien joue un véritable rôle de grand frère à en croire l'ancien Rennais. “C’est un chic type, comme on dit. Plus sérieusement, c’est quelqu’un qui te parle et t’aide beaucoup. On a une très bonne relation. Mais je peux vous dire que si je fais quelque chose de mal, il va me le faire savoir fermement”, a-t-il poursuivi.

Ce dernier est ensuite revenu sur son adolescence et son style de jeu qui a évolué au fil des années. “Avant, j'étais un mec qui avait trop la pression ! Surtout quand j'étais plus petit, vers 12 ou 13 ans. Mais, à partir du moment où tu commences à comprendre ce que tu peux et dois faire sur le terrain, elle se transforme en quelque chose d'autre. Après cette prise de conscience, que tu joues au Real ou ailleurs, ça reste tout le temps du ballon. Peu importe le club, le stade (…) Le jeu sans ballon, c'est révélateur. Avant, je ne défendais jamais. Mais alors, une fois à Rennes, j'ai commencé à défendre comme un fou. Je ne mettais que des coups ! J'étais devenu un autre joueur (…) Entre marquer et faire marquer, je choisirai toujours la seconde option. Je ne dis pas ça pour faire genre. C'est aussi important que marquer. Les avant-dernières passes, c'est pareil”, a lâché le milieu de terrain merengue dont le nom circule dans les couloirs d'Old Trafford depuis quelques jours.

Applications

Disponible sur Google Play
Télécharger dans l'App Store