L'Olympique de Marseille garde en travers de la gorge son élimination contre le FC Annecy en quarts de finale de la Coupe de France, mercredi à l'Orange Vélodrome.
Les Marseillais ont pris un coup derrière la tête. Mercredi dernier, l'OM s'est incliné à la surprise générale face au FC Annecy, club de Ligue 2, en quarts de finale de la Coupe de France (2-2, 6-7 tab). Une piteuse élimination contre une modeste formation survenue trois jours seulement après une lourde défaite dans le Clasico contre l'Olympique de Marseille (0-3), en Ligue 1.
Dans la foulée de cette sortie de route inattendue, les commentaires se sont multipliés pour dénoncer le comportement et la prestation des joueurs d'Igor Tudor, désormais attendus dimanche soir à Rennes en match de clôture de la 26e journée. Parmi les réactions, celle du journaliste Daniel Riolo ou encore l'analyse tranchée de la presse.
Hier, nos confrères de RMC Sport ont expliqué que l'Olympique de Marseille n'avait toujours pas digéré cette désillusion contre le club haut-savoyard. En interne, un membre de l'effectif se retrouve dans le viseur, à savoir Valentin Rongier. Selon la radio, ce n'est pas la performance du milieu de terrain de 28 ans qui est remise en cause, mais une décision de l'ancien Nantais avant la séance fatidique.
“48 heures après le match, c’est ce sentiment de gâchis, et beaucoup de colère, qui règnent encore dans les bureaux de la Commanderie où on veut que la culture de la gagne soit omniprésente au club. Un détail, qui n’en est pas un au final, a agacé : le fait que Valentin Rongier ait choisi de laisser Annecy tirer en premier les tirs au but… alors que le capitaine marseillais venait de gagner le jeu du pile ou face”, explique le média. Une bourde qui ne doit néanmoins pas résumer à elle seule l'élimination des partenaires de Dimitri Payet.
