Mercato - Bernardo Silva préfère Manchester United !

Interrogé sur la possibilité de rejoindre Manchester United par le média ESPN, Bernard Silva a joué franc-jeu et sa réponse ne va pas plaire aux fans de Manchester City.

Que les supporters du Paris Saint-Germain soufflent un bon coup : non, Bernardo Silva n'a pas apposé sa signature sur un contrat proposé par Manchester United. Quelle idée ! Le Portugais, qui a malgré tout fait part de ses envies de quitter les Skyblues à l'issue de la saison, s'est simplement prêté à un jeu de questions-réponses chez nos confrères d'ESPN. Interrogé sur les deux principaux clubs rivaux de sa carrière, le Sporting Portugal (il a débuté à Benfica) et Manchester United, l'ancien Monégasque a opté pour les Red Devils  : “Désolé, mais je dois aller vers Manchester United“, a-t-il répondu sans langue de bois.

Le point sur le dossier Bernardo Silva

Bien entendu, un transfert vers MU n'est absolument pas à l'ordre du jour. En revanche, comme l'a expliqué Jérôme Rothen ce mercredi soir, le Portugais est l'une des deux priorités absolues du Paris Saint-Germain, au même titre que Victor Osimhen. Luis Campos fait donc le forcing pour attirer le joueur de 28 ans dans la capitale.

La dernière offre en date est la suivante : Marco Verratti + une somme d'argent contre Bernardo Silva. Une proposition rejetée par les Citizens, même si Pep Guardiola est fan du profil du “Petit Hibou”. Ce refus n'aurait pas découragé les dirigeants parisiens pour autant, et ces derniers comptent revenir à la charge dans les prochains jours.

Le récent champion de France fait aussi face à la concurrence du FC Barcelone dans ce dossier. Englués dans une situation économique difficile, les Blaugranas seraient très intéressés pour signer le maître à jouer de City. Un intérêt qui ne laisserait pas insensible le joueur. Pour autant, le PSG semble toujours avoir une longueur d'avance pour s'attacher les services du natif de Lisbonne. À moins qu'un départ de Kylian Mbappé ne vienne rebattre les cartes.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.