Manchester City : Bernardo Silva prêt à aller au bras de fer
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Bernardo Silva pourrait faire le forcing pour provoquer son départ de Manchester City. Le joueur pourrait aller à l’encontre de la décision de Pep Guardiola de le retenir.
Ces dernières semaines, Bernardo Silva, le milieu offensif de Manchester City, a été au cœur d'un ballet de spéculations de transfert. Le Portugais figurerait sur la short-list de plusieurs clubs, notamment le PSG et le Barça. Mais l’opération est rendue très compliquée par le souhait de Pep Guardiola de le conserver.
En Espagne, le quotidien Sport croit savoir que l’opération est presque impossible. Le média affirme que le joueur aurait laissé entendre qu’il pourrait être prêt à forcer son départ si le Barça le lui demandait. Pour le moment, le club catalan n'aurait pas manifesté la volonté de le voir aller au bras de fer. Cela serait lié à sa situation financière et à son incapacité de financer un tel transfert.
Deux offres du PSG refusées
À Barcelone, Xavi considérerait le milieu de terrain comme une cible prioritaire pour renforcer son équipe. Si les Blaugranas ne disposent pour l'instant pas de la trésorerie nécessaire pour financer l’opération, ils resteraient en contact avec Jorge Mendes, l'agent de Silva. En cas de vente majeure cet été, l’opération pourrait redevenir d’actualité.
Pour rappel, Manchester City aurait refusé deux propositions du PSG pour l’ancien Monégasque. La dernière aurait dépassé les 75 millions d‘euros. Ce qui laisse imaginer la somme qu’il faudrait débourser pour le recruter. Bernardo Silva n’est pas en position de force, étant donné qu’il dispose encore de deux ans de contrat.
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Le club catalan réfléchirait tout de même à ses options, notamment la possibilité de financer le transfert en payant en plusieurs tranches. Mais il est difficile pour les dirigeants de demander à un joueur de faire le forcing pour partir, quand on ne dispose pas de la trésorerie pour financer l’opération.
Pour rappel, certaines rumeurs font état d’un possible renoncement du fonds d’investissement allemand censé faire office de levier. Un nouveau problème à régler rapidement pour Joan Laporta, si cela se confirme…