Mercato - PSG : Al-Khelaïfi justifie le recrutement de joueurs portugais

Durant l'intersaison qui vient de s'achever, le Paris Saint-Germain a une nouvelle fois réalisé un mercato XXL. Un marché des transferts 2023 qui a vu un nouveau joueur portugais renforcer les rangs parisiens : Gonçalo Ramos.

Depuis que Luis Campos travaille sur le recrutement parisien en tant que conseiller externe, le PSG semble avoir un faible pour les joueurs portugais. Peut-être aussi un faible pour les joueurs de Jorge Mendes également. Cet été, c'est un autre membre de la Seleção das Quinas, Gonçalo Ramos, qui a garni la colonie portugaise au Paris Saint-Germain, qui compte dans ses rangs Nuno Mendes, Vitinha et Danilo Pereira.

Ajouté à ça, le club a également recruté deux autres joueurs en provenance du championnat portugais : Manuel Ugarte et Cher Ndour. Lors d'un entretien accordé à Record Portugal, Nasser Al-Khelaïfi est revenu sur cette tendance.

“Une pépinière de talents”

Le Portugal est une pépinière de talents, ce dont le pays peut être fier, estime le président du PSG pour le média. Il y a beaucoup de passion pour le football et c'est toujours un plaisir de jouer au Portugal, car nous savons que l'atmosphère dans les stades est électrisante et que le match sera toujours très disputé.”

Le dirigeant francilien a également exprimé tout le bien qu'il pensait de son directeur sportif, Luis Campos : “Notre fantastique directeur sportif, Luis Campos, est également originaire de la région, rappelle Al-Khelaïfi. Pendant la période des transferts de cet été, je peux dire que Luís Campos et moi avons travaillé ensemble 20 heures par jour pendant deux mois sans interruption et je pense que tout le monde peut voir les excellents résultats de ce travail.”

Après un début de saison un peu poussif, les hommes de Luis Enrique ont signé deux excellentes performances face au RC Lens (3-1) et sur la pelouse de l'Olympique Lyonnais (1-4). La patte du coach espagnol se fait déjà sentir.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.