Mercato - Barça : “faites-le venir !”, Joao Felix réclame un joueur de Manchester City

Prêté au FC Barcelone par l'Atlético Madrid cette saison, Joao Felix ne sait pas vraiment de quoi son avenir sera fait. Pour autant, l'attaquant portugais n'hésite pas à militer pour l'arrivée de l'un des meilleurs joueurs de Manchester City en vue de la saison prochaine.

Remplaçant ce week-end lors de la victoire contre Las Palmas en Liga, Joao Felix devrait également débuter la rencontre face au Paris Saint-Germain sur le banc dans le cadre des quarts de finale aller de la Ligue des Champions. Lors de la double confrontation face au Napoli en huitièmes, l'international portugais n'a passé que quinze petites minutes sur le terrain.

Malgré un rôle  de joker de luxe, Felix souhaite poursuivre l'aventure au Barça la saison prochaine, comme il l'a une nouvelle fois confié lors d’un entretien accordé à Jijantes. Nous verrons ce qui se passe l'année prochaine, ma famille est heureuse et je suis content. J'aimerais rester, mais cela ne dépend pas de moi“, a-t-il notamment confessé.

Les deux internationaux portugais réunis en Catalogne ?

Visiblement très attaché au club blaugrana, Joao Felix conseille à ses dirigeants de recruter Bernardo Silva, qui envisage de quitter Manchester City durant l'intersaison. Déjà sur le départ l'été dernier, le Portugais avait prolongé son contrat avec les Skyblues récemment.

Faites venir Bernardo Silva, faites-le venir, a lâché l'attaquant de 24 ans. Il est très bon et il est encore meilleur en tant que personne. Il me pose des questions sur Barcelone, il a de la famille ici. Il me demande comment ça se passe ici. Je lui ai dit que tout allait bien pour qu’il vienne. Si j’étais Deco pour un jour, je signerais Bernardo Silva, sans aucun doute.

Barcelone semble être la destination privilégiée de Bernardo Silva, mais l'actuel 2ème de Liga fait toujours face à de sérieux problèmes économiques et ne pourra sans doute pas faire de folies cet été.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.