Mercato - L’axe OM-Rennes prêt à chauffer à nouveau, Benatia sous le charme d’une recrue à 900 000€

Lors du dernier mercato hivernal, l'Olympique de Marseille et le Stade Rennais se sont échangés pas moins de trois joueurs dans des opérations séparées. Amine Gouiri a pris la direction de la cité phocéenne, alors que Lilian Brassier et Ismaël Koné ont renforcé les rangs de l'effectif d'Habib Beye. Cette connexion pourrait continuer l'été prochain.

Au cours du mois de janvier, l'OM et Rennes ont été parmi les principaux animateurs du marché des transferts. Les Bretons ont transfiguré leur effectif avec pas moins de onze recrues, dont deux en provenance du club provençal. Avec le départ d'Amine Gouiri dans le sens inverse, on peut dire que les relations sont bonnes entre Frederic Massara et Mehdi Benatia, les deux directeurs sportifs. De quoi envisager davantage de mouvements entre les deux écuries à l'avenir ?

L'arrivée d'Habib Beye, ancien capitaine de la formation phocéenne, va sans doute continuer de réchauffer les relations. Des discussions autour d'un nouvel élément pourraient d'ailleurs avoir lieu dans les prochains mois.

L'OM apprécie Jérémy Jacquet

En effet, le jeune défenseur central Jérémy Jacquet, que le Stade Rennais vient tout juste de rappeler de son prêt à Clermont en déboursant 900 000€, plairait aux dirigeants marseillais, révèle LePetitOM. Le média précise que l'actuel 2ème de Ligue 1 suit les performances du joueur de 19 ans depuis un petit moment, notamment lorsqu'il portait les couleurs auvergnates.

Même si l'international U20 français n'est valorisé qu'à 1 M€ à l'heure actuelle, convaincre les Bretons de lâcher leur pépite ne sera pas une mince affaire. D'autant qu'Habib Beye, qui l'a titularisé à Saint-Étienne, semble compter sur lui.

L'OM, de son côté, cherche des défenseurs centraux d'expérience pour encadrer Leonardo Balerdi, mais garde toujours un œil sur les stars de demain. On imagine cependant que Jérémy Jacquet n'est pas une priorité des dirigeants marseillais à l'heure actuelle, aussi talentueux soit-il.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.