Mercato - Un nouveau coach a recalé l’OL !

En grande difficulté depuis le début de la saison, l'Olympique Lyonnais aurait décidé de limoger Laurent Blanc durant la trêve internationale. Le club prospecte actuellement pour trouver son successeur.

Après quatre journées de championnat, l'OL occupe la place de lanterne rouge de Ligue 1 avec un seul petit point et plusieurs déculottées au compteur. Une situation assez intenable pour Laurent Blanc, qui ne devrait pas survivre à la coupure et être débarqué dans les prochains jours. Pour rappel, l'ancien coach du PSG est le choix de Jean-Michel Aulas et non de la nouvelle direction.

Une épée de Damoclès plane donc au-dessus de la tête du Cévenol qui va être démis de ses fonctions lorsque les dirigeants rhodaniens auront trouvé son successeur. Ces dernières heures, plusieurs noms ont circulé dans la presse pour remplacer Blanc, dont ceux de Thiago Motta ou Marcelo Gallardo, mais ces derniers ne se sont pas montrés intéressés par le poste.

Une cible prioritaire met un vent à l'OL

Dans son édition du jour, L'Équipe explique de son côté que trois entraîneurs étrangers étaient sur la short-list des Gones, dont l'ancien coach de Chelsea Graham Potter, avec qui les dirigeants lyonnais ont déjà eu un rendez-vous en début de semaine. L'ex-entraîneur de Brighton n'a pas tardé à donner sa réponse et malheureusement pour l'OL, The Athletic affirme que le manager britannique a décidé de repousser l'offre de John Textor.

Le technicien de 48 ans ne juge pas le moment opportun pour faire son retour à la compétition, précise également le média. L'état-major lyonnais devra donc continuer de prospecter pour son futur entraîneur. Une tendance se dessine malgré tout : le propriétaire américain semble privilégier l'arrivée d'un manager étranger. L'OL n'a eu que deux entraîneurs étrangers dans son histoire, très récemment d'ailleurs puisqu'il s'agit de Sylvinho et Peter Bosz, le prédécesseur de Laurent Blanc.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.