OM : une première titularisation pour une recrue ?

En clôture de la 20ème journée de Ligue 1, l'Olympique de Marseille se déplace au Groupama Stadium pour affronter l'Olympique Lyonnais ce dimanche soir. L'occasion pour une recrue d'honorer sans doute sa première titularisation.

Ces dernières semaines, l'OM et l'OL ont particulièrement animé le marché français durant le mercato hivernal, qui a fermé ses portes le 1er février à 23h59. Les Phocéens ont signé quatre recrues alors que les Gones ont accueilli pas moins de sept renforts durant le mois de janvier. Tous les nouveaux arrivants ne seront pas sur la feuille de match, notamment côté lyonnais puisque Orel Mangala et Saïd Benrahma ne sont pas qualifiés pour cette rencontre.

En revanche, bien que Gennaro Gattuso doive composer avec les forfaits de dernières minutes de Geoffrey Kondogbia et Jordan Veretout, laissant un gros vide au le milieu de terrain, le technicien italien pourra compter sur la présence de ses quatre renforts de l'hiver, à savoir Jean Onana, Ulisses Garcia, Quentin Merlin et Faris Moumbagna. L'un d'entre eux pourrait même connaître sa première titularisation.

Deux recrues dans le onze de départ ?

Il s'agit de Quentin Merlin, pressenti pour occuper le couloir gauche de la défense lors de cet Olympico. Recruté en provenance du FC Nantes pour 12 millions d'euros (bonus compris), l'international Espoir français n'a pas encore porté les couleurs de l'OM depuis sa signature puisqu'il n'avait pas été qualifié à temps pour affronter l'AS Monaco le week-end dernier.

L'ancien Canari a rejoint la cité phocéenne pour prendre la succession de Renan Lodi, transféré à Al-Hilal contre un chèque de 25 millions d'euros. Pour cette rencontre, Gennaro Gattuso pourrait être tenté de repasser dans un schéma de jeu en 4-3-3 avec un milieu de terrain composé de Jean Onana, Azzedine Ounahi et Amine Harit. Dans ce système, Luis Henrique et Iliman Ndiaye évolueraient sur les ailes, derrière Pierre-Emerick Aubameyang.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.