Mercato - Barça : un grosse offre d’Arsenal en préparation pour Jules Koundé

La situation financière du FC Barcelone, toujours à la recherche de liquidités, crée un certain flou autour de l'effectif d'Hansi Flick. Les dirigeants catalans pourraient notamment être contraints de vendre certains cadres, dont Jules Koundé, courtisé en Premier League.

Les problèmes financiers du Barça sont encore loin d'être réglés. Même si les choses semblent aller dans le bon sens, avec notamment la signature d'un énorme contrat de sponsoring avec Nike, les comptes du leader de Liga ne sont pas dans le vert pour autant. Les dirigeants catalans ne peuvent, pour l'instant, pas inscrire Dani Olmo pour la seconde partie de saison.

Pour faire rentrer de l'argent dans les caisses, les Blaugranas pourraient donc être contraints de vendre. Le Barça négocie notamment avec un club pour le départ d'Andreas Christensen, mais d'autres pourraient suivre. Raphinha est sur les tablettes de trois géants de Premier League, tout comme Jules Koundé, pisté par Arsenal.

40 M€ pour convaincre le Barça ?

Et si l'on en croit les informations obtenues par le quotidien El Nacional, les Gunners seraient décidés à passer à l'action, eux qui manquent d'un vrai titulaire au poste de latéral droit et qui utilisent Thomas Partey à ce poste. Le média espagnol explique que le club londonien serait prêt à offrir 40 M€ au Barça pour s'attacher les services de l'international français.

Toujours selon la même source, Jules Koundé pourrait envisager un départ en Premier League. Pour autant, une telle offre sera-t-elle suffisante pour convaincre les dirigeants barcelonais ? On imagine que les Catalans pourraient tirer un peu plus de la vente du tricolore. Sous contrat jusqu'en juin 2027, le défenseur de 26 ans est évalué à 55 M€ par Transfermarkt.

L'ancien Bordelais est un titulaire indiscutable depuis le début de la saison. Le perdre cet hiver serait un coup dur, mais le Barça n'aura peut-être pas d'autre choix que de sacrifier un élément important.

Mathieu Dumas
Arrivé dans le métier sur un coup de tête à la Peter Crouch, j'ai fait mes gammes chez la Fédération Française de la Lose (FFL) avant d'explorer, par la suite, un monde autre que celui de la défaite. Au fil des expériences, j'ai pris de la bouteille comme Sidney Govou, en gardant toujours la même passion. Mon mantra : produire des analyses au moins aussi bonnes que Jean-Marc Ferreri.