Après Nasser Al-Khelaïfi, Luis Enrique s'est exprimé à son tour sur le tirage au sort de la phase de poules de la Ligue des champions, qui a réservé au Paris Saint-Germain un groupe très relevé.
Comme le Racing Club de Lens, le Paris Saint-Germain est fixé sur son sort. Réalisé jeudi par l'UEFA, le tirage de la phase de poules de la Ligue des champions a proposé du lourd au club de la capitale. Bien que protégés par une présence dans le chapeau 1, les partenaires d'Ousmane Dembélé héritent d'un groupe F relevé avec les Allemands du Borussia Dortmund, les Italiens du Milan AC et les Anglais de Newcastle comme adversaires. Première étape vers la qualification pour les huitièmes de finale, la réception du BVB programmée le mardi 19 septembre.
🗓 Notre calendrier pour les phases de poules de @ChampionsLeague ! ⤵️
🆚 @BVB : 19/09 – 21h au Parc des Princes
🆚 @NUFC : 04/10 – 21h
🆚 @acmilan : 25/10 – 21h au Parc des Princes
🆚 @acmilan : 07/11 – 21h
🆚 @NUFC : 28/11 – 21h au Parc des Princes
🆚 @BVB : 13/12 – 21h… pic.twitter.com/nLv7eSE5ml— Paris Saint-Germain (@PSG_inside) September 2, 2023
Un groupe “exigeant” pour Enrique
Les réactions s'enchaînent dans le camp parisien. Après le président Nasser Al-Khelaïfi, Luis Enrique a réagi à son tour à ces différentes confrontations qui attend son équipe en C1. Interrogé sur le sujet en conférence de presse, à la veille de la rencontre de la 4e journée de Ligue 1 face à l'Olympique Lyonnais, l'entraîneur espagnol reconnaît que le PSG tombe sur une poule difficile, sans que cela ne le perturbe plus que ça.
“C'est un groupe compliqué mais aussi attractif et très exigeant. La Champions League, c'est le top. Le défi est de jouer n'importe quelle équipe. C’est le groupe le plus attractif de la compétition, sans aucun doute. Ce sera très exigeant. Mais ceux qui ont de la malchance, ce n’est pas le PSG, mais les autres !”, lâche le manager francilien, revenu également sur le mercato estival et l'avenir du duo Marco Verratti-Julian Draxler.
Face aux Gones, Paris pourra compter sur Bradley Barcola, débarqué de l'Olympique Lyonnais pour 45 millions d'euros hors bonus. En revanche, Randal Kolo Muani – douzième et dernière recrue – est blessé à la cheville droite et forfait.